mardi 2 septembre 2014

Le mensonge Locussol.4.



4) Le mensonge Locussol



Faisons ici une petite parenthèse pour parler un instant d’un autre grand criminel contre l’humanité Erich Honecker l’ami et "camarade" de l'activiste apatride Henri Alleg. Le 12 août 1961, le « camarade » en chef Honecker un ancien ouvrier couvreur devenu un dictateur rouge de la pire espèce ordonna, en tant que Secrétaire du NVR (Conseil de Défense nationale) et Secrétaire pour les questions de sécurité auprès du Comité central du SED, de bâtir les installations frontalières autour de Berlin (Ouest) et d’ériger la clôture à la frontière orientale de la RFA, afin de rendre tout passage impossible depuis le paradis des prolétaires socialistes vers la grande misère et l’enfer capitaliste. 

Friedrich Nietzsche à dit: « Sozialismus ist die zu Ende gedachte Thyrannei der Geringsten und Dümmsten » (La pensée tyrannique la plus stupide du monde, c’est la socialiste)

L’acte d’accusation du 12 mai 1992 contre Honecker et cinq autres membres communistes et idéologues marxistes du Conseil de défense nationale de la RDA (Mielke, Stoph, Streletz, Albrecht et Kessler), du bureau du procureur auprès du tribunal régional (Landgericht) de Berlin précisera :
« Peu de temps après, des informations concernant des effractions frontalières réussies furent communiquées au camarade Honecker. Sur cette base, l’inculpé Honecker ordonna le 20 septembre 1961, en présence de  Mielke, d’employer des armes à feu contre les « traîtres et les violeurs de la frontière » et d’aménager un espace d’observation et de tir dans la zone interdite ».

Le 1er octobre 1973 Erich Honecker secrétaire du NVR et chef de la STASI ordonnera et précisera aux VOPOS de Berlin : «N’hésitez pas à faire usage de votre arme à feu, même en cas de violation des frontières par des femmes et des enfants, souvent utilisés par les traitres ».
Le 16 septembre 1993, la Cour d’assise de Berlin condamnera Fritz Streletz, Heinz Kessler et Hans Albrecht - à de très légères peines comprises entre 4 et 8 ans de prison ferme pour avoir été respectivement instigateurs et complices du meurtre (Totschlag) de sept personnes, exécutés à la frontière interallemande alors qu’elles cherchaient à fuir leur pays. (Le nombre total de citoyens de RDA assassinés en tentant de franchir le rideau de fer exécutées au nom du socialisme par les marxistes pour fuir le paradis socialiste est de 1.676 dont 768 à partir du 13 août 1961 quand commença la construction du Mur de Berlin destiné à arrêter l’exode massif des citoyens de la RDA qui fuyaient le paradis socialiste. 133 personnes ont péri en tentant de franchir le mur à Berlin entre 1961 et 1989, dont sept enfants de moins de 16 ans (a)) Ce verdict marquait la fin du premier des trois grands procès « collectifs » contre la direction politique est-allemande, un des plus médiatiques également, puisque Erich Honecker lui-même se trouvait au banc des accusés jusqu’à ce qu’il soit déclaré inapte à comparaître pour raisons médicales en janvier 1993.
Honecker avait été arrêté le 29 juillet 1992. L'audience principale eut lieu le 12 novembre 1992 au tribunal de grande instance de Berlin. 


À cause de son prétendu mauvais état de santé, les médecins prédisaient qu'il ne vivrait probablement pas jusqu'à la fin de l'audience principale. Ainsi, Honecker sollicita la séparation et la mise au point de la procédure contre lui. Sa requête fut refusée le 21 décembre 1992, les juges ne voyant pas sa maladie empêcher la procédure. Un recours contre cette décision auprès de la cour d'appel fut rejeté le 28 décembre 1992. Par contre, le recours constitutionnel effectué le 12 janvier 1993 eut plus de succès, à la suite de quoi la procédure ainsi que le mandat d'arrêt contre Honecker furent abrogés le jour même par le tribunal de grande instance de Berlin. Ensuite, le 13 janvier 1993, un second mandat d'arrêt en rapport avec un détournement de fonds publics (Comme c’est vilain ça, mais bon, c’est une spécialité socialiste !) fut lui aussi abrogé et Honecker fut libéré, ce qui souleva une vague de protestations de la part des innombrables victimes du régime socialiste de la RDA. Le jour même, le marxiste Honecker s'envola pour le Chili avec sa femme Margot (b) rejoindre la famille de sa fille née en 1952 Sonja Yáñez Betancourt, et son mari chilien Leonardo Yáñez Betancourt et leur fils Roberto Yáñez.
Roberto Yañez, petit-fils d'Erich Honecker et Margot, serait en vérité, le fils enlevé en 1979 à  Heidi Stein (mère de Dirk Schiller) par la STASI.

Le cas Dirk Schiller Voir ici (en Allemand) est un des cas symptomatique du Socialisme Internationaliste allemand voulant ériger l’homo socialistus quasiment identique à l’homo Arienicus du Socialisme Nationaliste Allemand. 

En RDA (République « démocratique » Allemande les «Kinder STASI» ; des enfants enlevés très jeunes à leur famille (souvent des dissidents ou opposants au socialisme) sont donnés au «cadres» militants socialistes membres de la STASI, (ici) pour êtres élevés comme des membres à part entière de la société socialiste et devant s'identifier à l'État communiste. L'ensemble du système scolaire était empreint par l'idéologie marxiste de la haine et militarisé. La participation obligatoire à l'organisation des pionniers Ernst Thälmann et de la Jeunesse libre allemande (Freie Deutsche Jugend, FDJ) partie de la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique ( Qui existe toujours aujourd’hui. En France, le Mouvement des jeunes communistes de France, de jeunes antisémites fait partie de la FMJD,) et de l'Union internationale des étudiants.( Qui existe aussi toujours aujourd’hui, elle a été présidée pendant deux ans par Jacques Vergès avant qu'il ne rejoigne les militants du FLN algérien. La chute de l'Union soviétique a privé de ressources l'UIE qui survit désormais difficilement.) Dans la conception communiste, la future Union internationale des étudiants envisagée est une « organisation de masse », c'est-à-dire un organisme marxiste culturel qui doit « canaliser » la jeunesse étudiante vers les thèses marxistes de l'Union soviétique et le communisme. Selon les méthodes mises au point par Willi Münzenberg, le créateur du marxisme culturel et de l'agit-prop soviétique en Occident, il faut laisser croire qu'il s'agit d'une organisation neutre et indépendante de l'URSS et de l’idéologie marxiste. La ville de Prague est choisie pour le siège de l'organisation car déjà dans la mouvance soviétique mais encore en apparence indépendante. 


Je sais, maintenant vous vous dites ; ça y est de Bornay le vieux réac « d'extrême droite », (les réacs ( avec le bras tendu et le verre de bière allah main) sont toujours d’extrême droite, même si vous êtes libertarien, notion politique inconnue au bataillon des universités Françaises), ce fafounesquelibertaré et monomaniaque va encore nous faire la leçon et enfoncer bien profond les clous de son anticommunisme primaire et viscéral (ne jamais oublier viscéral, ça pose le progressiste) et nous regonfler avec son marxisme culturel inhérent à la république Française. Mais alors là non, non de non ! Il faut être clair, mon combat n’est pas un combat « contre » le communisme. Ce qu'il faut combattre n'est pas le communisme en soit, mais la traduction politique de cette idéologie mortifère. Par exemple, il ne m'intéresse pas de savoir si le communisme est plus « vrai » que le capitalisme. Ce débat est aussi stérile que l'étaient autrefois les « disputations » et controverses entre théologiens juifs, musulmans et catholiques, savoir si Erasme avait raison avec son «de libero arbitrio» au dépend de Luther avec « de prédestinatio». Personne n'a jamais convaincu l'autre. Le communisme est un idéal. Que les communistes s'organisent dans leurs communes et phalanstères, qu'ils affichent leur bonheur d'y vivre, et ils seront en principe rejoints par des milliers de gens. Mais bon, rien n’est moins sur, pensez aux monastères vides, aux kibboutz tout aussi vides et a toutes les « expériences » collectivistes qui ne furent toujours que des échecs.

Le marxisme culturel ICI est effectivement une idéologie marxiste que nous dirons substituée, se cherchant toujours une sorte de prolétariat autre que la traditionnelle « classe ouvrière » que l’on a bien du mal à trouver en Europe de nos jours, la société industrielle ayant remplacé les ouvriers par des machines. Le marxisme culturel se focalise ainsi sur des « opprimés » supposés, des « victimes » factices, et des « exploités » que l’on cherche en France désespérément. C’est quasiment l’inversion des valeurs, en effet les mots étant des armes, il était impératif pour les marxistes culturels d’infiltrer et de prendre le contrôle des lieux dans lesquels sont dispensées les valeurs, c'est-à-dire, l’école, l’église, la justice, les médias, les partis politiques, les milieux artistiques, … afin d’y détruire les valeurs anciennes et de les utiliser pour dispenser de nouvelles «valeurs» tel le collectivisme. Le marxisme culturel peut aller jusqu’à l’idéalisation de l’Islam et de la racaille si ce n’est des caïds assimilés à des « pauvres » en révolte contre une société injuste (voire une société raciste, si le marxisme culturel ethnicise le problème comme le fait allègrement le mouvement nauséabond qui distille de la haine des juifs le MRAP). Ce marxisme culturel s’installe donc peu à peu dans les esprits  de personnes ou d’intellectuels de gauche comme de droite pour produire une hystérie politiquement correcte visant à présenter la différence comme une valeur absolue à protéger (la différence engendrerait forcément, pour eux, le statut de victime) et tendant, entre autres choses, à légitimer de manière péremptoire toutes les formes d’immigration et de xénophilie. Le marxisme culturel est la traduction politique de l’idéologie mortifère marxiste.


Revenons à notre chère République si « Démocratique » d’Allemagne ou le monopole de l'éducation marxiste, dépendait du ministère de l'Éducation. L'enseignement, qui était centralement organisé, dépendait du SED (Parti Socialiste Unifié d’Allemagne ICI à l’organisation calquée sur celle du Parti communiste de l'Union soviétique dont il n’était qu’un rouage). C’est la « camarade » Margot Honecker, femme du criminel communiste Erich Honecker, secrétaire général du parti communiste à partir de 1961, qui fut la ministre de l'Éducation Populaire et responsable des « kinder STASI » pendant de nombreuses années, de 1963 à 1989 qui organisa et mis au point les enlèvements d’enfants pour en faire des « Kinder STASI ».


La « reine » de la RDA et néanmoins « camarade » Margot, dite aujourd’hui mémé la mort, supervisera personnellement en 1979 le rapt par la STASI du fils d’ Heidi Stein, Dirk Schiller qui sera « donné » à sa fille et qui deviendra Roberto Yañez son petit-fils.
Il existe des similitudes techniques profondes de la logistique totalitaire entre Socialisme National (appelé à tort Nazisme) et communisme (quadrillage policier de la société, hiérarchie étatique étouffant l'expression de la base « populaire », propagande omniprésente embrigadant la population, système répressif hypertrophié allant jusqu'aux massacres de masse et au crimes contre l’humanité dans ses actions, réseau de camps de la mort).

Une de ses similitudes est le cas de l’enfance embrigadée pour en faire des « cadres » du régime. En DDR l’Organisation para militaire des pionniers Ernst Thälmann pour les 6-14 ans et la Freie Deutsche Jugend, pour les 14-25 ans qui avait pour mission de diffuser le marxisme-léninisme au sein de la jeunesse et de créer un homme socialiste nouveau et de soldats pour combattre le « capitalisme ». C’est  en 1978 que la formation militaire a été introduite dans les neuvième et dixième années (13/14 ans) chez les « Pionniers », alors qu’avant elle n’était donnée qu’à partir de la FDJ (15 ans). « Les enfants et les jeunes de la RDA ont été formés pour la guerre », avait déclaré Hubertus Knabe dont le père et mère avaient fui le paradis socialiste de la RDA en 1959. « À la fois théorique et pratique avec des manuels, avec des exercices d'armes et les manœuvres militaires - et ce, à un âge où ils sont encore très impressionnable. » (…) « Ce fut une guerre politique contre l'ennemi de « classe », contre l'Occident », avait ajouté Knabe.
L’organisation politique et paramilitaire la Freie Deutsche Jugend,  est à mettre en parallèle avec les Hitler Jugend dont la raison d'être était la formation politique de futurs nouveaux Socialistes Nationaux et de soldats prêts à servir loyalement le Troisième Reich. 

Les « kinder STASI » de la DDR destiné à devenir des « cadres » du régime marxiste Socialiste Internationaliste sont à mettre en parallèle avec les « Lebensborn Kinder » nés eux au sein de la « Lebensborn eingetragener Verein » (en français « Association enregistrée fontaines de vie») elle aussi patronnée par l’état, celui là, Socialiste National et gérée par la SS, dont le but était d'augmenter le taux de naissance d'enfants allemands en permettant à des filles mères possédant de bonnes « qualités raciales », d'accoucher anonymement et de remettre leur nouveau-né à la SS qui en assurerait la charge puis l'adoption. De nombreuses femmes gardèrent leurs enfants. Système nettement plus «moral» que l’enlèvement d’enfants à leurs parents par la STASI communiste.

Après cette parenthèse signalons que le 29 mai 1994, le criminel contre l’humanité Erich Honecker meurt à l'âge de 81 ans à Santiago du Chili d'un cancer du foie et y fut incinéré. Ses funérailles, organisées par le Parti communiste du Chili, ont été effectuées le lendemain au cimetière central de Santiago.

Revenons encore un instant à la vermine rouge Alleg qui a aussi participé aux activités du pôle de renaissance communiste en France qui condamnait le tournant pris par le PCF et voulait recréer un parti marxiste-léniniste, fonctionnant sur le modèle tel que l’a mise en place le modèle bolchevique criminel en 1902 et perpétué par Staline dans la première moitié du siècle. Plus ici.

Il est mort mercredi 17 juillet 2013  à Paris, à trois jours de son 92ème anniversaire ; la haine rouge ça conserve.


(a) De 1949, jusqu’à la fin de 1961, 2 738 566 (Presque 3 Millions) Allemands de l’Est se sont enfuis du paradis socialiste en Allemagne de l’Ouest dans l’enfer capitaliste et ont été recensés. C’est le 13 août 1961 que commença la construction du Mur de Berlin condamnant le seul point du dispositif où la fuite était encore possible. On ne recense à l’inverse aucun « dissident » capitaliste qui ayant fuit le régime Ouest Allemand avec ses BMW et ses Mercedes ai tenté de franchir le « mur » pour rejoindre le « paradis » socialiste et ainsi rouler en Traban !

(b) Margot Honecker née Feist dite mémé la mort, mémé la haine socialiste, l'éminence violette ou la sorcière violette à cause de sa teinture de cheveux,  ainsi que « Miss Bildung », un jeu de mots entre les mots allemands « Bildung » (éducation, culture, formation) et « Missbildung » (malformation), les qualificatifs ne manquent pas pour caractériser cette marxiste, véritable zombie communiste, maintenu en vie par la haine, en quête de persécution, infatigable, électrisé par l’ultime courant de l’affamée jalousie égalitariste.
Cette ministre de l’enseignement « populaire » (Ministerin für Volksbildung) de 1963 à 1989 dans l’ex dictature communiste dite République « Démocratique » d’ Allemagne qui avait fuit au Chili pour éviter d’avoir à répondre de ces crimes, était  accusée d'avoir organisé des arrestations politiques massives, des exécutions sommaires, des tortures abominables sur des femmes et des enfants, des déportations dans des camps du goulag en URSS, d'avoir fait séparer de force des enfants des parents dissidents d'opposants et de ceux qui voulaient quitter le régime communiste de l'ex RDA pour les faire « adopter » par d'autres couples de bons socialistes dans des familles de membres de la Stasi. Ces enfants étaient appelés, les « Stasi-Kinder », les enfants de la Stasi.
Mais pourquoi me direz vous mémé la haine c’est-elle réfugiée au Chili alors que de magnifiques républiques démocratiques, populaires et criminelles lui ouvraient les bras tel la Corée du Nord ?

En 1990, poursuivi par la justice allemande, le couple de criminel rouge Honecker s'enfuit à Moscou. Margot Honecker était notamment accusée d'avoir organisé des arrestations politiques massives, des déportations, des exécutions sommaires, d'avoir fait séparer de force des enfants des parents dissidents pour les faire adopter par d'autres couples de bons militants collectivistes. Le 13 janvier 1993, de nouveau poursuivi par la justice pour cette fois une peccadille habituelle aux Socialistes de toutes les nations ; le détournement de fonds publics et à la suite des bouleversements politiques entraînés par la dissolution de l'URSS, elle s'envole pour Santiago du Chili avec son mari, rejoindre la famille de sa fille Sonja qui habitait avec son mari chilien Leo Yáñez et leur fils Roberto un des « Kinder STASI » Chili où Miss Bildung  séjourne encore.

La sorcière violette vit certes au Chili, mais elle est en relation avec toute une garde d'anciens camarades et de nostalgiques du régime du grand socialiste marxiste culturel Salvador Allende, un communiste antidémocratique, raciste et antisémite comme son grand copain, le décoré de la Francisque du Maréchal Pétain, François Mitterrand.

Après tout, puisqu’on en est là, profitons en pour illustrer mes affirmations sur le sale bonhomme socialiste Allende et la façon avec laquelle s'exprimait l'idole des socialistes Français et des medias racistes et antisémites :

"Les Juifs se caractérisent par des formes déterminées de délits: l'escroquerie, la duperie, la calomnie et, surtout, l'usure [...]. Ces faits font soupçonner que la race influe sur la délinquance". "[...] les gitans constituent habituellement des groupements délictueux ou la paresse, la fureur et la vanité prédominent. Parmi eux, les homicides sont plus nombreux". Quant aux "arabes", "il y a quelques tribus honnêtes et laborieuses mais les plus nombreuses sont aventurières, imprévoyantes, oisives et portées aux larcins". Selon le professeur Victor Farías tous ses propos ont été proférés dans sa jeunesse par l'icône tant admirée de la gauche marxiste à « visage humain »: le bon Docteur Salvador Allende.
En 2012 dans sa première interview depuis la chute du Mur, mémé la haine, la veuve rouge du nauséabond dictateur et dirigeant communiste de la RDA Erich Honecker justifiait l'existence des prisons de la Stasi et traitait par le mépris ses concitoyens tués sur le mur de Berlin et autres victimes du communisme.
Elle ne regrettait rien. Le regard froid et l'accent tranchant, Margot Honecker, 85 ans, n'avait pas un mot d'excuses pour les familles des dizaines de millions de victimes du communisme et de la haine marxiste. Vingt ans après la chute du Mur, l'ancienne sinistre de l'Éducation marxiste du régime criminel communiste et veuve d'Erich Honecker estimait que les jeunes gens, les femmes, les enfants tués en essayant de franchir le mur avaient fait preuve de «stupidité». «Ils n'avaient pas besoin de faire cela, d'escalader le mur, c'était stupide de payer cela de sa vie.»
Selon elle, «il n'y avait pas d'ordre de tirer, seulement l'autorisation pour les soldats postés à la frontière d'utiliser leur arme en cas de danger». C’est vrai que des femmes et des enfants désarmés présentaient un grave danger pour le communisme !

Elle  balayait aussi d'un revers de la main la question si sensible des adoptions forcées: «Il n'y en a jamais eu», prétendait l'ancienne ministre de l'Éducation, à ce titre responsable en RDA de tout ce qui concernait les enfants. D'après les témoignages, plusieurs centaines d'enfants d'opposants ont pourtant été retirés à leurs parents pour être élevés par des familles membres de la STASI favorables au régime criminel socialiste.
C’est bien connu : avec le temps les mauvais souvenirs s’effacent. Certains cultivent une sorte de nostalgie kitch et se souviennent avec regrets des merveilleux « acquis sociaux » de la RDA, de la magnifique solidarité entre les gens et des sympathiques lettres de dénonciations entre voisins, des Trabans dont la vitesse limitée à 80km/heure permettait d’apprécier les magnifiques paysages pollués par l’industrie lourde de l’Allemagne Socialiste sans oublier le goût rustique et franchement dégueulasse des cornichons du Spreewald. Alors pour tous ceux qui ont la communistalgie, la nostalgie de l’Allemagne communiste, de son mur de la honte socialiste, de ses paysages gris et pollués, de son interdiction de voyager, de ses ordres de tirer sur les fugitifs femmes et enfants compris, de ses élections truquées, de sa police politique criminelle, des appartements truffés de micros et des queues interminables devant les magasins aux étals vides, voici un petit clip. ICI. Réalisé à l’occasion du soixantième anniversaire de la RDA, qui avait déjà disparu officiellement depuis 19 ans, vous y découvrirez quelques souvenirs de ce « monde merveilleux » perdu pour les Allemands de l’Est.

Mémé la mort rouge n'a pas de problème à justifier la très socialiste Stasi, la terrible police secrète criminelle qui espionnait tous les citoyens est-allemands: «Nous avions des ennemi ( ?), nous avions donc besoin d'une police d'État», dit la vieille prostituée marxiste sans sourciller. Quant aux personnes déportées, emprisonnées, exécutées et pour certaines torturées avant, «c'était des criminels» qu'on devait enfermer » !
La sorcière violette croit toujours aux vertus du communisme. «Nous aurions fait de grandes choses si la RDA avait duré vingt ans de plus», explique-t-elle, un petit sourire de constipé aux lèvres. La fin de règne de son mari ne lui a visiblement rien appris: jetés à la rue en janvier 1990, après une courte incarcération, les Honecker n'ont pas trouvé un seul camarade pour les recueillir. C'est un pasteur protestant du Brandebourg, Uwe Holmer, pourtant considéré comme un ennemi de l'État par le pestilentiel régime communiste, qui leur ouvrira chrétiennement les portes de sa maison. 

Margot Honecker avait décidé  de faire en 2012 une offensive médiatique, en publiant le journal intime de son mari. Elle vit toujours aujourd'hui dans la capitale chilienne de 1500 euros de retraite versés par la République Fédérale d’Allemagne, une somme «honteusement insuffisante», avait-elle fait savoir. En 1999 déjà, elle avait attaqué l'Allemagne afin de récupérer ses « biens » confisqués après sa fuite. Elle avait été déboutée.
Je trouve particulièrement injuste que l'État allemand verse  4,1 milliards d’euros (5,5 milliards de dollars) dans les pensions pour les criminels anciens dirigeants communistes de la RDA, mais seulement 48 millions d'euros pour les pensions des victimes.
Fin de la quatrième Partie du « mensonge Locussol ».

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