mardi 2 septembre 2014

Le mensonge Locussol.



Un document d’Alain de Bornay


A DIFFUSER SANS MODÉRATION





Avant propos.


Un document historique, une analyse politique originale sur internet un texte avec des mots dedans, des vrais mots avec du sens, de belles images chics et chocs, un beau texte qui offre la possibilité aux « mis en cause » ou a ceux que cela intéresse de répondre (Le droit de réponse en direct live ; une exclusivité d’Alain de Bornay) ou de corriger mon travail en laissant des commentaires directement à la suite du paragraphe mis en ligne.

De plus, nul n'étant à l'abri d’une erreur, il est ici possible au lecteur qui, non content de faire valoir son opinion est susceptible de corriger un fait ou une date inexacte, si ce n’est un désaccord avec l’auteur. Comme par exemple ici., ou un « semblant » de dialogue aurait pu s’instaurer.


Auteur : Michel Alain Labet de Bornay, historien, écrivain, aristocrate, philatéliste (*1) et libertarien minarchiste (*2) qui entretient plusieurs blogs d’analyse politique notamment celui-ci : Antisémitisme non merci, le Blog du Collectif tous ensemble contre le nouvel antisémitisme.

Et celui-là : Michel Alain Labet de Bornay. Et aussi celui-ci: Libertarien.

Ce document procède d’une réflexion commencée il y a déjà une quinzaine d’année après la lecture d’un ouvrage peu connu de Théodore Kaczynski : « La société industrielle et son avenir ». Ici en PDF.

Cette réflexion m’a amené à comprendre que le droit dans le « mur » de Berlin n’est pas inéluctable si on se donne la peine de comprendre les causes du futur accident.

Cette catastrophe future dont on voit les prémices aujourd’hui  est causée en occident par une idéologie pestilentielle le marxisme culturel qui imprègne tous les partis politiques en France de l’extrême gauche à l’extrême droite de la république.

Il est vrai et vous le constaté tous les jours que le progrès technologique nous conduit à un désastre prévisible et seul l'effondrement de la civilisation moderne peut l’empêcher. ICI. Mais remplacer les « capitaines d’industrie » par des « dictateurs rouges » c’est idiot ! Garnier, un véritable anarchiste illégaliste qui a fini à la guillotine et ayant fait partie de la fameuse « Bande à Bonnot » (N.d.a. : Un mien cousin de Pont de Roide; et ce n’est pas une blague !) au début du XXème siècle disait: « tous ces messieurs n’étaient autres que des profiteurs et arrivistes qui criaient révolte partout, qu’il fallait détruire le capitaliste (Un peu comme au NPA : Nouveau Parti Antisémite) et autre, mais pourquoi. Je compris qu’ils voulaient détruire l’état social actuel, tout simplement pour s’installer, eux, à la place, remplacer la République par le syndicat, c’est-à-dire éliminer un état pour le remplacer par un autre dans lequel il y a des lois et toute la même engeance sociale actuelle, en somme ne changer que le nom pour arriver à cela. »

Frédéric Bastiat, dans « La Loi» (1850) il y a plus d’un siècle à dit « Il y a trop de grands hommes dans le monde; il y a trop de législateurs, organisateurs, instituteurs de sociétés, conducteurs de peuples, pères des nations, etc. Trop de gens se placent au-dessus de l'humanité pour la régenter, trop de gens font métier de s'occuper d'elle »

Proudhon, qui fut le premier à se qualifier d'anarchiste disait : « Le communisme, pour subsister, supprime tant de mots, tant d'idées, tant de faits, que les sujets formés par ses soins n'auront plus le besoin de parler, de penser, ni d'agir : ce seront des huîtres attachées côte à côte, sans activité ni sentiment, sur le rocher de la fraternité. Quelle philosophie intelligente et progressiste que le communisme ! »…

Mais alors me direz vous comment et surtout pourquoi « sauver le monde » ?

François-René Rideau dans « Vivre Libre, Vivre Bien » dit :
« Sauver le monde en le soumettant au joug d’un Pouvoir exercé par des anges. Voilà le rêve de la Politique, vendu à crédit à tous les gogos assez crédules pour croire aux anges, aux hommes supérieurs et autres sauveurs suprêmes. Mais toi lecteur tu ne tombes plus dans ce panneau : tu est un homme libre. Mais peut-être te demandes-tu encore comment sauver le monde ? As-tu en tête un de ces plans rocambolesques où tous les plus paumés que toi, par une soudaine illumination, résoudraient tous les problèmes de coordination pour ensemble instaurer une utopie, chassant les parasites actuels sans que d’autres ne les remplacent ? Tu es encore victime de la même arnaque ; en vain voudrais-tu user contre les Maîtres d’un Pouvoir que la populace posséderait, par lequel elle régnerait soi-disant : il est imaginaire. Les Maîtres sont bien maîtres, et non le contraire ; leur Pouvoir, réel, est celui du mensonge et de la domination. Par ce Pouvoir, tu pourrais à la rigueur devenir Calife à la place du Calife, mais tu ne pourrais pas sauver le monde ; car sauver le monde, ce serait précisément le détruire, ce Pouvoir.

Abandonne donc ces faux espoirs, mirages collectivistes de plus. Tu n’as pas le pouvoir de sauver le monde ; nul n’a ce pouvoir, pas plus que celui de le damner d’ailleurs, et fort heureusement. Tu n’en as pas le devoir non plus. Par contre tu as un devoir, que cette diversion te mène à négliger, un but atteignable, qui t’a été personnellement assigné, qui est ta tâche la plus importante, et pour accomplir laquelle tu es la personne à la fois la mieux placée et la plus capable : te sauver toi-même ! La suite de "Vivre libre" en cliquant ici. »

(*1) Le sanguinaire criminel contre l’humanité communiste Joseph (Iossif) Vissarionovitch Djougachvili plus connu sous le pseudonime de Joseph Staline (Stal en russe signifie : acier) qui a fait assassiner en bolchévie soviétique à partir de 1936 radicalement tous les éléments « socialement » suspects par centaines de milliers, les dékoulakisés appauvris par la collectivisation forcée ( Hommes, femmes et enfants sauvagement exécutés), les vagabonds (SDF et autres roms et tziganes) et autres marginaux engendrés par cette dernière, les anciens membres des « classes » dirigeantes et autres cadres et contremaîtres et leurs enfants, tous les individus entretenant ou ayant entretenu des relations avec l'étranger (corps diplomatique, anciens combattants d'Espagne, agents du Komintern, jusqu'aux espérantistes, aux philatélistes et aux astronomes sans oublier bien sur les juifs !


(*2) Le libertarianisme (ou "libertarisme") Ici est une philosophie tendant à favoriser au maximum la liberté individuelle, que celle-ci soit conçue comme un droit naturel ou comme le résultat du principe de non-agression. De ce fait, ses partisans, les libertariens, s'opposent à l'étatisme en tant que système fondé sur la coercition, au profit d'une coopération libre et volontaire entre individus. Voir ici Le parti Français.

Copyright 2014. Agence de Presse AIS (Trade Mark). Reproduction autorisée avec la mention suivante : © http://talebonjourdalfred.blogspot.fr/

 




 

Le mensonge Locussol.1




1) Le mensonge Locussol.



Le CTECNA a reçu ce texte en courriel suite à notre appel à témoin. ICI

Pierre Frénée
Pierre Frénée 80 ans que quelques rouges journaleux activistes crasseux de « goâche » orthographient «Fresnay» est un retraité depuis 1989 de l’Éducation nationale, (Instituteur) ancien adjoint au maire socialiste d’Alençon Pierre Manger entre 1977 et 1984. C’est aussi un activiste communiste antisémite et membre du « Collectif » Antisémite  Palestine Orne qui comprend la Cimade, la FSU, le NPA (Nouveau Parti Antisémite ?), le Parti Communiste dit Français, le « syndicat » marxiste SUD, les gauchistes ultras dit « Verts » (Europe Écologie les Verts) et l’Association satellite du PCF, le gang de délinquants France Palestine Solidarité 61 ou AFPS 61.

Arrivé à 19 ans dans la petite école rurale de Rouvrou il a tout de suite été passionné par son métier d’enseignant et il l’est resté trente-huit ans.
Monsieur Frénée a, au temps « glorieux » du communisme stalinien et criminel été membre de l’Association nationale des élus communistes et républicains (ANECR) qui est une association d'élus communistes en France. Le communiste raciste anti Malien Paul Mercieca en faisait lui aussi partie à ce moment.

Maître Pierre est fait officier dans l’Ordre des Palmes Académiques  par décret du 1er août 1990 pour services rendus à l’éducation Nationale au titre de maître formateur.
Nonobstant, la politique du gouvernement Fillon sous Sarkozy en matière d’éducation avait fait réagir « monsieur » Frénée qui avait écrit au ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative Luc Chatel : « Je me déclare solidaire des personnes qui vous ont renvoyé leurs titres honorifiques des Palmes Académiques et le document officiel qui leur a signifié cette distinction. Toutefois, comme ce n’est ni vous, ni votre prédécesseur qui m’avez signifié cette promotion, je ne vous la retournerai pas mais le remets entre les mains de Jean-Pierre Pelletier, président de la Section de l’Orne de l’Association des Médaillés de l’Ordre des Palmes Académiques, jusqu’au moment — que j’espère prochain — où votre gouvernement, votre président et vous-même seront obligés de céder la place. »
Lui aussi au tribunal s’était exclamé : « Je suis né en 1934, (…) En 1944, j'avais 10 ans, j'ai passé des nuits sous les bombes, comme aujourd'hui à Gaza. J'ai connu la guerre d'Algérie, alors la colonisation aussi, ça évoque des choses précises pour moi. Je me sens insulté quand on m'accuse de racisme et d'antisémitisme. ».
 
C’est vrai que pour un communiste stalinien qui se voit toujours en tolérant humaniste et en progressiste y ajouter l’accusation et la condamnation pour racisme et antisémitisme ça fait tache !
En 1850, le publiciste Alfred Sudre écrivait que : « le communisme  fait de l’homme une bête sensuelle, gourmande et lubrique, traînant son ventre appesanti par des sales voluptés »
Tiens à propos de « progressistes », savez vous comment, en ex Union Soviétique et notamment au KGB on nommait les terroristes, que ce soit ceux de l’IRA Irlandaise, de la LCR Française ou des Brigades rouges Allemandes antisémites avec leurs complices de l’attaque des terroristes palestiniens du FPLP marxistes et antisémites sur les athlètes israéliens lors des Jeux Olympiques de Munich ou de leurs amis «Basques» de l’ETA marxistes ? La réponse est facile, ces terroristes assassins étaient appelés des «éléments progressistes» !

Un peu comme l’ancien président de l’AFPS l’ancien député communiste Jean Claude Lefort prétendu « humaniste, progressiste et pacifiste » mais qui est en fait un véritable professionnel du glapissement indigné et des nauséabonds borborygmes antisémites.
Et puis, bon, vous allez me dire que les communistes défendraient les « opprimés » ? C'est vrai, sauf durant les quelques dernières décennies avec les « opprimés » d'Europe de l'Est sous le joug soviétique. Et aujourd’hui avec les opprimés du Darfour, les Cubains, Chinois, Nord Coréen, Laotiens, Vietnamiens, Zimbabwéens, Africains, etc. etc. Bon, c'est vrai, qu'à un moment faut bien choisir «son» opprimé et ne plus le lâcher, parce que sinon après, on se disperse...
En 1944, maître Pierre avait 10 ans, il aurait passé des nuits sous les bombes américaines ce que je veux bien croire, par contre la «guerre» d’Algérie il l’a connue de loin au cinéma ! En 1962 il n’avait que 18 ans, ainsi lorsqu’il s’exclame devant le tribunal qui l’a condamné en première instance sur la base de la loi réprimant la provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de son origine ou de son appartenance ou non appartenance à une ethnie, nation, race ou religion : « J'ai connu la guerre d'Algérie, alors la colonisation aussi, » c’est du pipeau ! Le vieillard cacochyme et néanmoins camarade « Pierrot » se fout de nous !

C’est le fameux discours marxiste culturel du : j’l’ai pas vu, j’l’ai pas lu, mais j’en ai entendu causer ! Rappelons ici que Karl Marx (dont le tovaritch Stalinien Frénée l’anti…..sioniste propage l’idéologie marxiste haineuse) Karl Marx l’antisémite socialiste (eh oui, à l’époque Marx, qui n’avait pas encore inventé le communisme, était socialiste, comme monsieur Pueyo le maire d’Alençon, mais en plus intelligent (ce qui n’est très dur !) écrit dans « À propos de la Question juive » Question juive ? Ah bon ; bizarre, on dirait un sous titre de Mein Kampf ; il y avait donc pour Marx une «question» juive ?
« Ne cherchons pas le secret du juif dans sa religion, mais cherchons le secret de la religion dans le juif réel. Quel est le fond profane du judaïsme? Le besoin pratique, l'intérêt personnel. Quel est le culte profane du juif ? Le trafic. Quel est son dieu ? L'argent. C'est de ses propres entrailles que la société bourgeoise engendre continuellement le juif. »
Il est arrivé que l’on reçoive au CTECNA de la part de communistes convaincus ce genre de commentaires que maître Pierre ne renierais sans aucun doute pas : « Le marxisme n'a rien à voir avec l'antisémitisme et il n'a rien d'odieux, il ne faut pas confondre l'idéologie de Marx et le marxisme d'état »
Ah oui ! Il ne faut pas confondre le mufle dégoûtant de haine socialiste de Marx créateur de l’odieux marxisme criminel aux 150 Millions d’innocentes victimes dont 9 millions suite à l’Holodomor du criminel contre l’humanité Staline en 1932 et 1933, d’avec la hure bestiale et vociférante d’ Adolph Hitler à l’origine du socialisme national immonde et monstrueux avec les 6 millions de victimes juives de la shoa qui vont avec ?

Ceux qui comme Pierre Frénée ont fait leur métier de la transmission du savoir une arme politique avec leur science marxiste du révisionnisme, de l'amalgame et de la falsification historique, ne doivent pas êtres étonnés qu’une ignorance crasse s’étale fièrement, chez les animateurs télé, les chanteurs «allah» mode, les pseudos journalistes, sans compter les footeux et même les politiques, dans une société de merde qui prône l’extase obligatoire devant les poncifs éculés de la pensée marxiste antisémite et traitre à la France. ICI une petite mise au point historique
Alexis Lacroix, dans : « Le Socialisme des imbéciles (Pléonasme) La Table ronde, 2005 » écrit : « L’humanisme réel » déployé dans « La Question juive » est révolutionnaire dans ce sens qu’il fusionne une promesse d’émancipation (de l’humanité) avec un programme d’éradication (du judaïsme – c’est-à-dire du juif dans son identité). Non pas que Marx sous-entende que, par soi, la « suppression » du juif entraînerait la fin du capitalisme. Mais un impensé organiciste anime secrètement ses diatribes : à ses yeux, protéger la communauté, c’est d’abord la protéger du juif, puisque le juif est le premier responsable du capitalisme qui la corrompt. »
CQFD : Tout antisionisme est donc un antisémitisme.
Ce n’est pas nouveau, le philosophe américain Dagobert Runes publiait en 1960 le texte de Marx en l’intitulant : A world without Jews (Un monde sans Juifs) qui prouve sans aucun doute que le nommé Marx était un adepte de la «solution finale» socialiste nationale du « problème juif».


De manière symétrique, les antisémites socialistes, islamistes et fascistes (Eh oui, même Mussolini avait reconnu que le fascisme devait beaucoup aux «idées» de Marx) citent le texte de Marx pour cautionner leur mythe stupide et nauséabond d’un complot juif mondial. Un modèle du genre est le site raciste et antisémite Radio Islam fondé par l’antisémite musulman Ahmed Rami. (ICI le site raciste islamiste antisémite RADIO ISLAM ) Ce site, qui a collaboré plus d’une fois avec des fascistes et des marxistes culturels de différents pays, présente sur le même plan La Question juive du jeune Marx et un document fabriqué par les services secrets tsaristes (Les Protocoles des sages de Sion) document sensé avoir été écrit par des « juifs » comploteurs pour la domination du monde, le pamphlet antisémite du capitaliste américain Ford avec les délires antisémites du « leader » musulman noir américain Farrakhan Voir ici.


Copyright 2014. Agence de Presse AIS (Trade Mark). Reproduction autorisée avec la mention suivante : ©http://talebonjourdalfred.blogspot.fr/

Fin de la première partie :

Le mensonge Locussol.2.



2) Le mensonge Locussol suite...

Mais avec, à Alençon, le 6 octobre 2012 l’érection d’une plaque à la mémoire du traitre à la France et communiste (pléonasme) Alfred Locussol, « fonctionnaire » des douanes et des enregistrements, Pierre Frénée et son « ami » et camarade François Tollot adjoint au maire  socialiste, Joaquim Pueyo qui « financera » l’événement avec les impôts des Alençonnais, se disqualifie encore un peu plus.
C'est vraiment dur d'être communiste car il faut avoir une mémoire à trous… ce qui est nécessaire pour la tromperie permanente comme on va le voir !

Alfred Locussol est né le 30 Septembre 1904 à Carnot alors en France dans le département Français d’Alger, on ne sait rien ou très peu de la jeunesse d’Alfred Locussol.
Il aurait été « camarade » au Lycée de Blida avec les terroristes du nauséabond FLN Ben Khedda et Saad Dahlab.

Il est dit qu’après des études supérieures, il aurait «travaillé» pour l'administration ( ?). 
Après avril 1944 à 40 ans il est attaché de cabinet au ministère de l’air avec Grenier puis Charles Tillon ce qui implique une adhésion pleine et entière au Parti Communiste Français et une formation dans une école du parti qui se trouvaient toutes alors à Moscou.
En 1945 le Parti Communiste par la voie du traître, déserteur et collaborateur des Nazis le secrétaire général du PCF Maurice Thorez désapprouvera la mutinerie ou insurrection de Sétif prélude à la « guerre » d’Algérie. Lors du massacre de Sétif et Guelma, il désignera même ceux-ci sous le nom de « provocateurs hitléro-trotskistes ». En novembre 1954, les communistes du PCF condamnent de façade aussi l’insurrection déclenchée par le FLN. 
En 1947 à 43 ans Locussol serait devenu militant du Parti Communiste Algérien (PCA) dont il est dit qu’il émergea en 1920 comme une extension du PC- SFIC (Parti communiste Section Française de l’Internationale Communiste)  qui deviendra beaucoup plus tard le Parti communiste français (PCF). Hors il s’agit encore une fois d’une falsification historique marxiste culturelle.  
Le PCA sera créé et contrôlé jusqu’en 1952 par André Marty, un communiste stalinien criminel et assassin, traître à la France qui avait été mis en place vers 1931 à la tête du Parti communiste Section Française de l’Internationale Communiste par Eugen Fried, l'homme de Moscou qui dirigeait secrètement depuis Bruxelles le Komintern pour toute l'Europe de l'Ouest. 
A partir de 1931, Marty est de plus en plus impliqué dans l'appareil de l'immonde Internationale communiste appelée également Komintern à l'exécutif duquel il représentera le parti français. (Aujourd’hui en France le « Komintern » s’appelle Attac) En 1935, il sera nommé au présidium et au secrétariat, devenant ainsi le Français au grade le plus élevé au sein du Komintern. Il entre également au bureau politique du parti français en 1932. ICI
De fait le Parti communiste Section Française de l’Internationale Communiste est étroitement tenu par Moscou : par exemple de 1930 à 1943, date de sa mort, le parti est contrôlé par l'agent du Komintern Eugen Fried, Juif hongrois né en 1900 qui parle yiddish, hongrois, tchèque, slovaque, français, russe et anglais, qui choisit, pour Staline, comme dirigeants du parti : Maurice Thorez (dont la première femme sera sa dernière compagne et dont il élèvera le fils), Jacques Duclos, Benoît Frachon et André Marty.

Pendant la guerre civile Espagne, à partir de 1936, le Komintern nomme Marty inspecteur général des immondes  Brigades internationales et il restera planqué en Espagne jusqu'à la fin de la guerre, en 1939. André Marty, sera surnommé le « boucher d'Albacete », il fut notamment chargé d'éliminer physiquement les trotskistes, nombres de trotskistes étaient à cette époque juifs à commencer par Trotsky lui-même (Lev Davidovitch Bronstein) et son compère bolchévique et assassin Grigori Zinoviev . Le témoignage de Sygmunt Stein, un communiste polonais, membre des Brigades Internationales et de confession judaïque dans son livre écrit en yiddish dans les années 1950 et parus dans une traduction française de Marina Alexeevna-Antipov en 2012 est capital. Tout ce qu’il croyait combattre dans le fascisme (Forme nationaliste du socialisme), à commencer par l’antisémitisme, il le retrouve dans son propre camp, le camp communiste, le camps de la haine, cette haine antisémite qui sévit encore aujourd’hui au sein de ce « parti » dont de nombreux militants sont condamnés pour incitation à la haine raciale antisémite, dont des militants du MRAP mouvement qui distille de la haine des juifs ! La déception est à la mesure de l’espoir qui l’avait mené en Espagne : immense. Affecté par la suite à la compagnie juive Botwin, il sera envoyé au front pour servir de chair à canon.

Des exécutions arbitraires du « boucher d’Albacete », André Marty, aux banquets orgiaques des commissaires politiques, en passant par les impostures de la propagande soviétique, Sygmunt Stein dénonce violemment dans son livre la légende « dorée » des Brigades internationales assassines.
Voir ici

Hemingway fait un portrait très peu flatteur de Marty dans Pour qui sonne le glas, où il apparaît sous le nom d'André Massart. On vient de voir que dans ses souvenirs de la guerre d'Espagne, publiés primitivement en yiddish en 1956 le brigadiste polonais Sygmunt Stein qui a connu Marty à Albacete, le présentait sous le jour d'un antisémite stalinien sanguinaire qui inspirait la terreur à ses camarades de combat.

Le traître antisémite et assassin communiste André Marty est à Moscou lors de l'annonce de la signature du pacte germano-soviétique, et de la déclaration de guerre, en septembre 1939. Il y est rejoint par un autre traître et déserteur Maurice Thorez qui avait, sur un ordre de Dimitrov rejoint Moscou. Il travaille pour le pestilentiel Komintern jusqu'à la dissolution de celui-ci, en mai 43, et en octobre 43, il arrive à Alger pour représenter le PCF auprès du gouvernement provisoire du Colonel De Gaulle autoproclamé général et siéger à l'assemblée consultative ce qui expliquera plus tard et en partie les liens entretenus par le « Général » avec Prosper Môquet (Le père de Guy), André Moine et autres rouges criminels, nous aurons l’occasion d’en reparler. 
Les noyaux (cellules) du PCA étaient principalement composés d'ouvriers expatriés, européens dont de nombreux Français « indésirables » en métropole. PCA dont André Moine était depuis 1947 le secrétaire permanent.

Ah ! André Moine ; un programme communiste nauséabond et haineux à lui seul. Arrêté le 29 août 1939 par le gouvernement socialiste de l’époque pour propagande communiste, condamné à six mois de prison à Pau, puis mis en résidence surveillée avant d'être déporté en Algérie et interné à Djelfa (sud algérien) puis à la redoute de Bossuet (ex. Biribi), en Oranie.

Libéré le 1er juin 1943, il « travailla » dans une fabrique d'allumettes et fut détaché par la délégation du Comité central du P.C.F. et du Parti Communiste d’URSS auprès du Parti communiste algérien afin de l'aider à se réorganiser, il ne rentra en France qu'en octobre 1946 pour être instructeur du P.C.F.

En mars 1947, sur proposition de Mauvais au nom prédestiné et Feix, il fut envoyé à Alger où il se maria en 1947 avec Blanche Masson, installée en Algérie depuis 1939, militante C.G.T.. Il est dit que pour mieux « s'intégrer » comme « algérien d'origine européenne », il « travailla » sur l'histoire de l'Algérie et de la civilisation arabe (Sic), multiplia les conférences et publia en 1950-1951 des articles de fond dans Liberté sur les questions de la nationalité et de la culture algériennes (re sic). Belle réussite pour un ex « ajusteur » juste titulaire de son Certificat d'études primaires. Responsable du fameux Mouvement de la paix ( ?), il incita les militants du PCA à entrer dans la lutte armée dans les Aurès. Semi clandestin à partir du printemps 1955, il organisa l'imprimerie camouflée de « Liberté ».
 
C’était donc le « patron » de Locussol. Comme formateur il mis au point les méthodes d’enlèvements, viols, tortures, et actes de barbarie des agents du FLN jusqu’à ces « quarante Européens séquestrés » jus­qu’à ce que mort s’ensuive pour servir de « donneurs de sang » aux rebelles terroristes du FLN. Clandestin dès février 1956, il fut arrêté par les parachutistes le 25 juillet 1957, interrogé fermement par la Police Judiciaire, par la D.S.T. et par les militaires. Il fut condamné à 5 ans puis à 20 ans de prison et sa femme à 10 ans de travaux forcés. Ils furent malheureusement libérés en avril 1962.
L’association de malfaiteurs communistes le PCA déclaré groupe de combat et milice privée (à l’époque on ne parlait pas de terrorisme) est dissous (Dix sous c ’est pas cher pour un mouvement d’assassins communistes) par décret du 12 septembre 1955 d’Edgar Faure.
Alfred Locussol comme son camarade  le « chef » André Moine rentre alors dans ce qu’il est convenu d’appeler la « clandestinité » qui est l’autre nom de l’action terroriste.

D’emblée le PCA et Alfred Locussol avaient fourni au terroristes du FLN les premières bombes homicides (Alvarez à Oran, Iveton à Alger) et les premières poseuses de bombes (Danielle Minne (1mort 25 blessés), et Raymonde Peschard (*1))
En 1956 on découvre à son domicile du matériel d’imprimerie pour l’organe nauséabond de propagande marxiste et terroriste du parti communiste algérien, Liberté Enchaînée.
 
Convaincu de complicité avec l’aspirant Maillot un immonde déserteur communiste passé au FLN avec un plein camion d’armes, Locussol passe en jugement et n’est condamné qu’à 1 an de prison avec sursis fin 1956, sous le gouvernement Guy Mollet, il quitte l’Algérie à l’instigation du PCF et s’installe en France. Immédiatement, la direction du PCF le prend en charge, lui donnant un travail et un appartement à Alençon ou il est muté comme directeur adjoint de l’enregistrement et des domaines. Il y poursuivra discrètement ses activités terroristes en se rendant une fois par semaine à Paris prendre ses ordres. Il entretenait d’étroites relations avec les chef barbouzes du MPC (mouvement de « gaullistes » de gauche Voir ici notamment un dénommé Michel Mertz Ici) à qui il fournissait de jeunes « éléments » communistes de « valeurs » (Entendre des « jeunes » formés à l’action terroriste criminelle) ou éléments « progressistes » aussitôt embrigadés dans les sections anti patriotes et dirigés vers l’Algérie.
Le docteur Georges Hadjadj, militant du PCA, confirmera plus tard que le PCA, Locussol et ses complices marxistes fabriquaient des bombes participant ainsi aux attentats terroristes criminels pendant la bataille d´Alger.

C’est aussi en 1956 que le PCA est progressivement marginalisé par le FLN, tous ses militants passant à la lutte terroriste armée l'ayant rejoint. C'est ainsi que Fernand Iveton, pose une bombe à Alger peu de temps après avoir quitté la branche armée du PCA.

Peu de temps après, en septembre 1956, le terroriste communiste professeur de sciences à la faculté d’Alger dit «mathématicien» Maurice Audin organise l'extradition clandestine, vers l'étranger, du premier secrétaire du PCA, Larbi Bouhali, avant d'être lui-même arrêté, il disparaîtra lors de sa tentative d’évasion lors de la « bataille d'Alger ».
Nonobstant, on notera que le PCA le FLN et l’ALN (Armée de libération nationale) se sont essentiellement livrés à des exactions dirigées de manière aveugle contre l’ensemble de la population en Algérie.
Il est une population en Algérie qui a particulièrement souffert de ses exactions communistes et musulmanes, c’est les juifs en tant que juifs et pas en temps que Français de confession Israélite. C’est ainsi que du point de vue des felouzes et des moudjahiddines qui tuent au faciès ave du matériel fourni par les communistes, comme par exemple le 20 Août 1955, dans le Constantinois, il y a uniquement des « Yahud » et des « Nsara » (chrétiens). Ici les juifs, on les visent bien parce que Juifs qu’on tuaient, « de préférence le samedi » Et on les visaient, selon différents modes opératoires, en les arrosant d’essence dans la rue (David Chiche, 65 ans, Alger), en les tuant à l’entrée ou à la sortie des synagogues (comme à Constantine, quelques mois avant l’indépendance, Edmond Baruch Sirat, frère du Grand Rabbin de France René Sirat), ou avec des bombes, y compris chez eux (Isaac Aziza, rabbin de Nédroma, tué avec sa famille). Ils sont pourchassés en tout lieu : devant leur magasin comme Emile Atlan (héros de l’Opération Torch, mise au point par des Juifs, qui permit aux Américains de prendre Alger sans combat), à l’intérieur de leur lieu de travail, ou en des lieux de détente (grenades dans les cafés de Constantine) ou de loisir (Casino de la Corniche qui pulvérise notamment l’orchestre de Lucien Séror, dit Lucky Starway)... Les synagogues, elles-mêmes ne sont pas épargnées : grenades dans les synagogues de villes du Sud, Boghari en Mars 1958 (1 mort), et Bou Saada en 1959 la veille de Kippour (la petite fille du Rabbin est tuée). Celle d’Orléanville est incendiée. La grande Synagogue d’Alger,  en Décembre 1960, est dévastée aux cris de « Mort aux juifs », les Rouleaux de la Tora profanés, des croix gammées dessinées sur les murs, et le drapeau indépendantiste planté.
Le « camarade » Locussol est donc en France en 1957 où il continue sur le sol de la métropole ses actions clandestines de traître à sa patrie, de communiste (Pléonasme) et d’agent du FLN.
Il convient ici de faire une mise au point capitale, il n’y eu jamais de « guerre » en Algérie, l’Algérie n’était pas une colonie, l’Algérie c’était la France ! Comme la Bretagne ou le Pays Basque. Il y eu essentiellement des opérations de maintien de l’ordre dans les départements Français d’Algérie. Le mot « Guerre » à été employé à tort comme d’habitude par les marxistes pour justifier de leurs actions terroristes, en effet dans une guerre dite « de libération » ( l’antienne marxiste : la fameuse juste lutte des peuples pour le droit à disposer d’eux-mêmes) il y a, du fait du mot «  guerre » une juste « cause »,  des combattants, des soldats, des morts, des armes etc. ça a quand même une autre gueule que des lâches attentats aveugles et terroristes à la bombe pour assassiner des femmes et des enfants au nom de l’édification du socialisme .


C’est lui qui aidera avec sa connaissance de l’action terroriste ou progressiste son ami et camarade Harry John Salem dit Henri Alleg (*2) qui était en prison en Algérie inculpé d’ «association de malfaiteurs», d' «atteinte à la sûreté extérieure de l'État» et de  «reconstitution de ligue dissoute» et condamné à 10 ans de prison.
On cherche à obtenir sa libération, mais le communiste Henri Alleg n’appartient pas à l’appareil du PCF. Son épouse prend des contacts avec une autre organisation marxiste, la Ligue des Droits de l’Homme, dont le président, Émile Kahn, écrit à Robert Lacoste, ministre résidant en Algérie.
Fin juin 1960, Alleg, devant être entendu comme témoin dans l’instruction du procès de « l’affaire » Audin, fut transféré à Rennes. Se plaignant de pseudos troubles de santé, il fut placé en centre hospitalier surveillé. Son épouse Gilberte Serfaty, Alfred Locussol et quelques « camarades » organisèrent alors son évasion, dans la nuit du 2 au 3 octobre 1961. Henri Alleg, est alors exfiltré en Tchécoslovaquie socialiste plus exactement à Prague la « Genève communiste », qui accueille les terroristes des Partis Communistes du monde entier menacés par les autorités de leurs pays.
Une partie des organisations communistes internationales, comme l’association internationale des juristes démocrates ( sic), la fédération mondiale de la jeunesse ou le conseil mondial de la paix (re sic), a son siège dans la ville et emploie des révolutionnaires professionnels, des terroristes assassins dit « éléments progressistes ». Les secrétariats des partis communistes s’adressent directement à l’ambassade tchèque pour la demande d’accueil des « militants ».
Finalement Alfred Locussol fut exécuté à son domicile par l’OAS, le 3 janvier 1962. Il s’agissait en l’occurrence de la première exécution d’un traître à la France sur le territoire métropolitain qui avait été condamné par l’organisation patriotique depuis l’Algérie.



L’exécuteur, fils de bonne famille, fut rattrapé le jour même au Mans, condamné à vingt ans de détention puis libéré dès 1968. À peine Alfred Locussol était-il enterré à Alençon au cimetière Notre-dame, en 1962, que sa tombe était taguée d’un tonitruant et imbécile (Mort aux cocos) en effet il était déjà mort. Le corps a alors été transféré en un lieu tenu secret par la famille. Il l'est toujours. En effet, les capitulards marxistes, les terroristes communistes, les complices de crime contre l’humanité, les traitres à la France doivent se cacher au lieu de parader. Ils n'ont pas lieu d'être fiers de leur trahison, du massacre des femmes, des enfants et des populations qu'ils ont aidé de leur complicité immonde. Pour ceux qui ne le sauraient pas ou qui l'ont oublié, le FLN avec l’aide du Parti Communiste se disant « Français » a tué 30.000 Jeunes Appelés Français entre 1954 et 1962 (10 par Jour pendant 8 Ans).

Alors les ennemis de la France et les traitres communistes peuvent aller raconter leurs fariboles en Algérie et édifier leurs monuments à la gloire de la haine rouge du sang de 150 millions de victimes de leur idéologie socialiste pestilentielle car les assassins du F.L.N. les recueilleront peut être pour écouter leurs balivernes. ( Rien n’est moins sur)
Nous souhaitons que des témoins de cette époque nous envoient leurs témoignages. Qu'ils n'hésitent pas à nous contacter sur ctecna@gmail.com de manière anonyme ou en commentaires anonymes sur ce blog.
Fin de la deuxième Partie du « mensonge Locussol ».
Septembre 2014 la fête de la haine rouge !

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Le mensonge Locussol.3.



3) Le mensonge Locussol

Notes sur l’affaire Locussol.
(*1) L’infirmière dite aussi assistante «sociale» et immonde activiste communiste Raymonde Peschard dite «Taous» avait entre autre, attentats placé une bombe fabriquée par le PCA et Locussol, le 5 Octobre 1957, dans un car de ramassage scolaire à Diar es-Saada, il y eu 12 morts et 15 blessés graves uniquement des enfants, tous Pieds Noirs. Déposer un couffin avec une bombe et s'en aller, fière de la mission accomplie, représente vraiment le summum de la barbarie. Le comble ou le paradoxe, c'est au nom de ce sois disant esprit progressiste, humaniste, au nom des libertés, de la paix, de la justice, de l’égalité entre les hommes et les races, que ce crime odieux fut commis pour le même sois disant idéal « progressiste » qui anime les 7 antisémites d’Alençon. Comment peut-on justifier la mort d'enfants innocents, d’enfants blessés amputés à vie, au nom d'un idéal communiste ayant sois disant pour objectif la liberté des hommes à disposer d’eux-mêmes ?


Les enfants mutilés d'Algérie à cause de l(idéologie marxiste.
Le 4 Avril 1957, 28 inculpations et 18 mandats de dépôt (préventifs) interviendront à Alger dans l'affaire du soutien au FLN apporté par les « libéraux » (on ne dit plus alors « communistes »). Parmi eux, la poseuse de bombe, la terroriste communiste Raymonde Peschard échappera à l’arrestation.

Fin 57 la presse dira qu’elle a été appréhendée. Cette nouvelle était fausse. Les parachutistes furent cependant très injustement « soupçonnés » et accusés par la presse gauchiste de l’avoir fait mourir en prison sous la torture. Or, mise en cause par un membre du PCA inculpé dans l’affaire Guerroudj (bombes et attentats terroristes) la camarade Raymonde Peschard parvint à échapper aux recherches et à rejoindre les terroristes du FLN de la wilaya 3 .
Elle fut les armes à la main abattue au cours d’un combat le 26 novembre 1957, près de Bordj Bou Arreridj, à une vingtaine de kilomètres au nord-ouest de Medjana exactement à Draa Errih, sur un chaînon des monts des Bibans, le djebel Tafertas, porteuse d’un ordre de mission des monstres terroristes du FLN (signé du « commandant » Amirouche) pour gagner la Tunisie (Ce qui n'empêche pas la presse marxiste culturelle, de la présenter encore de nos jours, comme une humaniste, une progressiste lâchement torturée et assassinée par les méchants paras commandés par le colonel Georges Buis.).

(*2) L'apatride Harry John Salem dit Henri Alleg  est né dans une famille juive communiste installée en Angleterre qui vient à Paris au début des années 1920. En 1939, Alleg quitte la capitale pour Marseille et Alger. Il devient communiste au cours de l’année 1940 voir début 1941 en pleine période d’alliance germano-soviétique. Il fait un séjour rapide à l'École léniniste internationale à Moscou ou il rencontre, André Marty dont il prendra les ordres et Maurice Thorez le déserteur et revient à Alger.
Puis après l’invasion de l’URSS par l’Allemagne qui simplifiait le jeu politique et permettait aux communistes de lier action politique, antifascisme et anticolonialisme Salem anime à partir de cette période les différents groupes de jeunes communistes. Très vite, il grimpe dans le cursus honorum communiste et est nommé commissaire politique dit instructeur du PCA, chargé par les instances communistes de Moscou (Komintern) de vérifier la bonne application de la ligne du Parti et de pratiquer le cas échéant des mises au point, de faire faire des autocritiques,  d’exclure du Parti et d’éliminer physiquement les déviationnistes.
En juin 1941, sur ordre de ses supérieurs de Moscou le jeune Salem nouera des contacts avec les communistes d’Alger, notamment par le syndicaliste cheminot Jacques Bentolila. Pourchassés, dispersés, les communistes se réorganisaient tant bien que mal dans la clandestinité. Harry Salem reçut le pseudonyme de Duval. Le PCA appelait alors à la résistance nationale, et des numéros clandestins de La Lutte Sociale parlaient déjà d’Algérie indépendante.

En 1946, le stalinisme triomphant atteint des sommets dans la dénonciation des adversaires supposés infiltrés dans le Parti – comme l’expliquera notamment Edgar Morin dans « Autocritique » quelques années plus tard. Ainsi il participe à l’exclusion d'Amar Ouzegane et de ses proches en 1947 en raison de leurs prises de positions nationalistes. Henri Alleg intègre l’ensemble des instances directionnelles supérieures du parti algérien en 1949, siégeant au bureau politique avec Alfred Locussol.

En 1954 après la perte des colonies d'Indochine, Moscou reporte ses efforts nauséabonds sur une autre région du monde ou il souhaite étendre son influence idéologique : L'Afrique du nord. Encore une fois, il lui sera au préalable nécessaire d'en exclure d'abord ses ennemis « capitalistes ».
Pour cela, il va activer le PCA (Parti Communiste Algérien), soutenu par le PCF, qui en plus de fournir un encadrement administratif et de propagande avec entre autre Léopold Figueres, va s'engager dans de nombreuses actions sanglantes, au profit du FLN qui en est très proche.
Le PCA et le FLN recevront du PCF courroie de transmission du Komintern des conseils en agitprop, des armes, du matériel de guerre, et surtout, des experts en explosifs, qui vont leur permettre de mener leurs campagnes de terreur sur tout le pays, et, principalement sur Alger.

Alleg devient parallèlement éditorialiste puis directeur d’ « Alger républicain » sorte d’Huma locale. Dans la feuille de propagande communiste, les articles soutenant la sois disant émancipation des « colonisés » et dénonçant la « colonisation » cohabitent avec des apologies de la mise en place des démocraties populaires, de la politique stalinienne de collectivisation des usines et de l’agriculture, et de l’élimination de tous les opposants.
Avec les « événements » d’Algérie « Alger républicain » est interdit. À la demande du Parti, Alleg met en place une structure légale tentant de faire repaître le journal alors que les cadres du PCA dont Locussol passent dans la clandestinité et l’action terroriste.
Arrêté le 12 juin 1957 au domicile d’Audin, il est un peu bousculé, livrant le récit des prétendues exactions et « tortures » qu’il aurait subies dans un roman : « La Question ». (*4)

Alors qu’il est transféré à Rennes pour être interrogé sur les agissements du PCA et ceux du traître Audin…. Là il convient de faire une petite parenthèse et de voir qui était le « camarade » Audin :

Maurice Audin, né en 1932 à Béja (Tunisie) est mort à Alger en 1957, était un communiste Français adhèrent au Parti communiste algérien dés 1951, d'abord comme membre de la cellule Langevin de l'Union des Étudiants communistes, puis, à partir de 1953, d'une cellule d'Alger. Il fréquente et cela sous les ordres du Parti Communiste l'association des étudiants musulmans, l'AEMAN (devenue en 1955 l'UGEMA) en vue de l’infiltration des idées socialiste révolutionnaires.

Maurice et son épouse Josette (Elle aussi communiste) font partie de la petite minorité des Français d'Algérie manipulés consciemment ou inconsciemment par Moscou et l’Internationale marxiste. La famille Audin, des enseignants de l’éducation Nationale participe aux actions terroristes initiées par le Parti Communiste Algérien dont ils sont membres.
En septembre 1956, il organise, avec sa sœur (Charlie, née en 1925) et son beau-frère (Christian Buono (*3)), l'exfiltration clandestine à l'étranger de Larbi Bouhali, premier secrétaire du PCA.

Merci "monsieur" Audin !

En janvier 1957, est lancée l'opération dite « bataille d'Alger », pour laquelle la 10° Division Parachutiste (général Massu) détient les pouvoirs de police dans la zone d'Alger.

En mars 1957, Maurice Audin héberge un autre dirigeant communiste, Paul Caballero, à un moment où celui-ci doit être soigné par un médecin membre du Parti (Le docteur Hadjad) C'est cet événement qui met les parachutistes sur la piste de Maurice Audin.
Quelques mois auparavant, il avait rencontré deux fois, par l’intermédiaire d’ Henri Alleg, André Moine, le chef de réseau, celui justement sur lequel les forces de police devaient mettre la main à tout prix le « patron » qui avait mis au point et dirigeait avec Locussol les méthodes d’enlèvements, viols, tortures, et actes de barbarie des agents du FLN.
Après son arrestation le 11 juin 1957 au cours de la bataille d'Alger, il disparaît au cours d’une tentative d’évasion.
Son épouse madame Josette Audin dépose une plainte contre X pour homicide le 4 juillet 1957 ; une enquête judiciaire est engagée.
À la demande des avocats de Madame Audin, l'instruction de cette affaire est transférée à Rennes en avril 1959 et n'est pas terminée à la fin des événements (mars 1962). Un non-lieu est prononcé en avril 1962, pour insuffisance de charges. De plus, le décret du 22 mars 1962 amnistie « les faits commis dans le cadre des opérations de maintien de l'ordre dirigées contre l'insurrection algérienne ». Les avocats font appel puis saisissent la Cour de cassation. En 1966, la Cour de cassation dit n'y avoir lieu à statuer sur le pourvoi, les faits allégués par la partie civile étant amnistiés par une loi du 17 juin de cette année. En conclusion on pourrait dire que comme le renard de la fable tel est pris qui croyait prendre !
Fin de « l’histoire » Audin.
Fin juin 1960, Alleg, devant être entendu comme témoin dans l’instruction du procès de « l’affaire » Audin, il fut transféré à Rennes. Se plaignant de pseudos  troubles de santé, il fut placé en centre hospitalier surveillé. Son épouse Gilberte, Alfred Locussol et quelques « camarades » organisèrent alors son évasion, dans la nuit du 2 au 3 octobre 1961 ? Henri Alleg, est alors exfiltré en Tchécoslovaquie socialiste à Prague qu’il quittera vite pour Moscou.
Merci les communistes!

C’est ainsi qu’ Henri Alleg rencontre dans les bureaux de Prague, Léopold Figues et le criminel contre l’humanité Georges Boudarel, l’ancien déserteur devenu instructeur politique auprès des soldats français prisonniers en Indochine. Alleg revient en Algérie après l’indépendance, tentant pendant plusieurs années de construire un parti communiste. 

En même temps qu’il pratique le « journalisme » politique à « Démocratie Nouvelle » puis à « L’Humanité », il est également un « commis voyageur » du mouvement communiste international, participant à de multiples réunions en vue de concerter l’action du mouvement. Il en est l’un des plus ardents.

En effet, Alleg publie entre 1965 et 1991 plusieurs ouvrages dans la lignée stalinienne et brejnévienne, dénonçant les États-Unis ("SOS América", "Requiem pour l’oncle Sam") à la gloire de Cuba ("Victorieuse Cuba") surtout de l’URSS parmi lesquels "Étoile rouge et croissant vert et l’URSS et les juifs" de justification de la politique soviétique [dans lesquelles il justifie tous les aspects de la politiques soviétiques] à l’égard notamment des minorités, expliquant, ainsi que la situation des Juifs sous le communisme est [a été] « globalement positive »Juste quelque millions de mort c’est vrai que pour un communiste c’est assez « positif » !

Il déplorait, dans un de ses derniers ouvrages, republié depuis par l’une des dernières maisons d’édition stalinienne, les éditions Delga, la fin de l’URSS en critiquant fermement la politique gorbatchévienne.
Dans le même temps, le criminel Alleg a poursuivi son action progressiste. Il participe en 1992 à la fondation du  Comité Honecker de Solidarité Internationaliste  qui faisait partie du  comité internationaliste pour la solidarité de classe (présidence : Henri Alleg, Mumia Abu Jamal ( Le taulard américain tueur de flic), Margot Honecker, Désiré Marle) défendant l’ancien militant du KPD, qui, dans l’entre-deux-guerres, fit ses études à l’École léniniste internationale à Moscou, avant de devenir, après la Seconde Guerre mondiale, l’un des principaux puis le principal responsable de la République « Démocratique » Allemande criminelle et communiste totalitaire.
Fin de la troisième Partie du « mensonge Locussol ».

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Le mensonge Locussol.4.



4) Le mensonge Locussol



Faisons ici une petite parenthèse pour parler un instant d’un autre grand criminel contre l’humanité Erich Honecker l’ami et "camarade" de l'activiste apatride Henri Alleg. Le 12 août 1961, le « camarade » en chef Honecker un ancien ouvrier couvreur devenu un dictateur rouge de la pire espèce ordonna, en tant que Secrétaire du NVR (Conseil de Défense nationale) et Secrétaire pour les questions de sécurité auprès du Comité central du SED, de bâtir les installations frontalières autour de Berlin (Ouest) et d’ériger la clôture à la frontière orientale de la RFA, afin de rendre tout passage impossible depuis le paradis des prolétaires socialistes vers la grande misère et l’enfer capitaliste. 

Friedrich Nietzsche à dit: « Sozialismus ist die zu Ende gedachte Thyrannei der Geringsten und Dümmsten » (La pensée tyrannique la plus stupide du monde, c’est la socialiste)

L’acte d’accusation du 12 mai 1992 contre Honecker et cinq autres membres communistes et idéologues marxistes du Conseil de défense nationale de la RDA (Mielke, Stoph, Streletz, Albrecht et Kessler), du bureau du procureur auprès du tribunal régional (Landgericht) de Berlin précisera :
« Peu de temps après, des informations concernant des effractions frontalières réussies furent communiquées au camarade Honecker. Sur cette base, l’inculpé Honecker ordonna le 20 septembre 1961, en présence de  Mielke, d’employer des armes à feu contre les « traîtres et les violeurs de la frontière » et d’aménager un espace d’observation et de tir dans la zone interdite ».

Le 1er octobre 1973 Erich Honecker secrétaire du NVR et chef de la STASI ordonnera et précisera aux VOPOS de Berlin : «N’hésitez pas à faire usage de votre arme à feu, même en cas de violation des frontières par des femmes et des enfants, souvent utilisés par les traitres ».
Le 16 septembre 1993, la Cour d’assise de Berlin condamnera Fritz Streletz, Heinz Kessler et Hans Albrecht - à de très légères peines comprises entre 4 et 8 ans de prison ferme pour avoir été respectivement instigateurs et complices du meurtre (Totschlag) de sept personnes, exécutés à la frontière interallemande alors qu’elles cherchaient à fuir leur pays. (Le nombre total de citoyens de RDA assassinés en tentant de franchir le rideau de fer exécutées au nom du socialisme par les marxistes pour fuir le paradis socialiste est de 1.676 dont 768 à partir du 13 août 1961 quand commença la construction du Mur de Berlin destiné à arrêter l’exode massif des citoyens de la RDA qui fuyaient le paradis socialiste. 133 personnes ont péri en tentant de franchir le mur à Berlin entre 1961 et 1989, dont sept enfants de moins de 16 ans (a)) Ce verdict marquait la fin du premier des trois grands procès « collectifs » contre la direction politique est-allemande, un des plus médiatiques également, puisque Erich Honecker lui-même se trouvait au banc des accusés jusqu’à ce qu’il soit déclaré inapte à comparaître pour raisons médicales en janvier 1993.
Honecker avait été arrêté le 29 juillet 1992. L'audience principale eut lieu le 12 novembre 1992 au tribunal de grande instance de Berlin. 


À cause de son prétendu mauvais état de santé, les médecins prédisaient qu'il ne vivrait probablement pas jusqu'à la fin de l'audience principale. Ainsi, Honecker sollicita la séparation et la mise au point de la procédure contre lui. Sa requête fut refusée le 21 décembre 1992, les juges ne voyant pas sa maladie empêcher la procédure. Un recours contre cette décision auprès de la cour d'appel fut rejeté le 28 décembre 1992. Par contre, le recours constitutionnel effectué le 12 janvier 1993 eut plus de succès, à la suite de quoi la procédure ainsi que le mandat d'arrêt contre Honecker furent abrogés le jour même par le tribunal de grande instance de Berlin. Ensuite, le 13 janvier 1993, un second mandat d'arrêt en rapport avec un détournement de fonds publics (Comme c’est vilain ça, mais bon, c’est une spécialité socialiste !) fut lui aussi abrogé et Honecker fut libéré, ce qui souleva une vague de protestations de la part des innombrables victimes du régime socialiste de la RDA. Le jour même, le marxiste Honecker s'envola pour le Chili avec sa femme Margot (b) rejoindre la famille de sa fille née en 1952 Sonja Yáñez Betancourt, et son mari chilien Leonardo Yáñez Betancourt et leur fils Roberto Yáñez.
Roberto Yañez, petit-fils d'Erich Honecker et Margot, serait en vérité, le fils enlevé en 1979 à  Heidi Stein (mère de Dirk Schiller) par la STASI.

Le cas Dirk Schiller Voir ici (en Allemand) est un des cas symptomatique du Socialisme Internationaliste allemand voulant ériger l’homo socialistus quasiment identique à l’homo Arienicus du Socialisme Nationaliste Allemand. 

En RDA (République « démocratique » Allemande les «Kinder STASI» ; des enfants enlevés très jeunes à leur famille (souvent des dissidents ou opposants au socialisme) sont donnés au «cadres» militants socialistes membres de la STASI, (ici) pour êtres élevés comme des membres à part entière de la société socialiste et devant s'identifier à l'État communiste. L'ensemble du système scolaire était empreint par l'idéologie marxiste de la haine et militarisé. La participation obligatoire à l'organisation des pionniers Ernst Thälmann et de la Jeunesse libre allemande (Freie Deutsche Jugend, FDJ) partie de la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique ( Qui existe toujours aujourd’hui. En France, le Mouvement des jeunes communistes de France, de jeunes antisémites fait partie de la FMJD,) et de l'Union internationale des étudiants.( Qui existe aussi toujours aujourd’hui, elle a été présidée pendant deux ans par Jacques Vergès avant qu'il ne rejoigne les militants du FLN algérien. La chute de l'Union soviétique a privé de ressources l'UIE qui survit désormais difficilement.) Dans la conception communiste, la future Union internationale des étudiants envisagée est une « organisation de masse », c'est-à-dire un organisme marxiste culturel qui doit « canaliser » la jeunesse étudiante vers les thèses marxistes de l'Union soviétique et le communisme. Selon les méthodes mises au point par Willi Münzenberg, le créateur du marxisme culturel et de l'agit-prop soviétique en Occident, il faut laisser croire qu'il s'agit d'une organisation neutre et indépendante de l'URSS et de l’idéologie marxiste. La ville de Prague est choisie pour le siège de l'organisation car déjà dans la mouvance soviétique mais encore en apparence indépendante. 


Je sais, maintenant vous vous dites ; ça y est de Bornay le vieux réac « d'extrême droite », (les réacs ( avec le bras tendu et le verre de bière allah main) sont toujours d’extrême droite, même si vous êtes libertarien, notion politique inconnue au bataillon des universités Françaises), ce fafounesquelibertaré et monomaniaque va encore nous faire la leçon et enfoncer bien profond les clous de son anticommunisme primaire et viscéral (ne jamais oublier viscéral, ça pose le progressiste) et nous regonfler avec son marxisme culturel inhérent à la république Française. Mais alors là non, non de non ! Il faut être clair, mon combat n’est pas un combat « contre » le communisme. Ce qu'il faut combattre n'est pas le communisme en soit, mais la traduction politique de cette idéologie mortifère. Par exemple, il ne m'intéresse pas de savoir si le communisme est plus « vrai » que le capitalisme. Ce débat est aussi stérile que l'étaient autrefois les « disputations » et controverses entre théologiens juifs, musulmans et catholiques, savoir si Erasme avait raison avec son «de libero arbitrio» au dépend de Luther avec « de prédestinatio». Personne n'a jamais convaincu l'autre. Le communisme est un idéal. Que les communistes s'organisent dans leurs communes et phalanstères, qu'ils affichent leur bonheur d'y vivre, et ils seront en principe rejoints par des milliers de gens. Mais bon, rien n’est moins sur, pensez aux monastères vides, aux kibboutz tout aussi vides et a toutes les « expériences » collectivistes qui ne furent toujours que des échecs.

Le marxisme culturel ICI est effectivement une idéologie marxiste que nous dirons substituée, se cherchant toujours une sorte de prolétariat autre que la traditionnelle « classe ouvrière » que l’on a bien du mal à trouver en Europe de nos jours, la société industrielle ayant remplacé les ouvriers par des machines. Le marxisme culturel se focalise ainsi sur des « opprimés » supposés, des « victimes » factices, et des « exploités » que l’on cherche en France désespérément. C’est quasiment l’inversion des valeurs, en effet les mots étant des armes, il était impératif pour les marxistes culturels d’infiltrer et de prendre le contrôle des lieux dans lesquels sont dispensées les valeurs, c'est-à-dire, l’école, l’église, la justice, les médias, les partis politiques, les milieux artistiques, … afin d’y détruire les valeurs anciennes et de les utiliser pour dispenser de nouvelles «valeurs» tel le collectivisme. Le marxisme culturel peut aller jusqu’à l’idéalisation de l’Islam et de la racaille si ce n’est des caïds assimilés à des « pauvres » en révolte contre une société injuste (voire une société raciste, si le marxisme culturel ethnicise le problème comme le fait allègrement le mouvement nauséabond qui distille de la haine des juifs le MRAP). Ce marxisme culturel s’installe donc peu à peu dans les esprits  de personnes ou d’intellectuels de gauche comme de droite pour produire une hystérie politiquement correcte visant à présenter la différence comme une valeur absolue à protéger (la différence engendrerait forcément, pour eux, le statut de victime) et tendant, entre autres choses, à légitimer de manière péremptoire toutes les formes d’immigration et de xénophilie. Le marxisme culturel est la traduction politique de l’idéologie mortifère marxiste.


Revenons à notre chère République si « Démocratique » d’Allemagne ou le monopole de l'éducation marxiste, dépendait du ministère de l'Éducation. L'enseignement, qui était centralement organisé, dépendait du SED (Parti Socialiste Unifié d’Allemagne ICI à l’organisation calquée sur celle du Parti communiste de l'Union soviétique dont il n’était qu’un rouage). C’est la « camarade » Margot Honecker, femme du criminel communiste Erich Honecker, secrétaire général du parti communiste à partir de 1961, qui fut la ministre de l'Éducation Populaire et responsable des « kinder STASI » pendant de nombreuses années, de 1963 à 1989 qui organisa et mis au point les enlèvements d’enfants pour en faire des « Kinder STASI ».


La « reine » de la RDA et néanmoins « camarade » Margot, dite aujourd’hui mémé la mort, supervisera personnellement en 1979 le rapt par la STASI du fils d’ Heidi Stein, Dirk Schiller qui sera « donné » à sa fille et qui deviendra Roberto Yañez son petit-fils.
Il existe des similitudes techniques profondes de la logistique totalitaire entre Socialisme National (appelé à tort Nazisme) et communisme (quadrillage policier de la société, hiérarchie étatique étouffant l'expression de la base « populaire », propagande omniprésente embrigadant la population, système répressif hypertrophié allant jusqu'aux massacres de masse et au crimes contre l’humanité dans ses actions, réseau de camps de la mort).

Une de ses similitudes est le cas de l’enfance embrigadée pour en faire des « cadres » du régime. En DDR l’Organisation para militaire des pionniers Ernst Thälmann pour les 6-14 ans et la Freie Deutsche Jugend, pour les 14-25 ans qui avait pour mission de diffuser le marxisme-léninisme au sein de la jeunesse et de créer un homme socialiste nouveau et de soldats pour combattre le « capitalisme ». C’est  en 1978 que la formation militaire a été introduite dans les neuvième et dixième années (13/14 ans) chez les « Pionniers », alors qu’avant elle n’était donnée qu’à partir de la FDJ (15 ans). « Les enfants et les jeunes de la RDA ont été formés pour la guerre », avait déclaré Hubertus Knabe dont le père et mère avaient fui le paradis socialiste de la RDA en 1959. « À la fois théorique et pratique avec des manuels, avec des exercices d'armes et les manœuvres militaires - et ce, à un âge où ils sont encore très impressionnable. » (…) « Ce fut une guerre politique contre l'ennemi de « classe », contre l'Occident », avait ajouté Knabe.
L’organisation politique et paramilitaire la Freie Deutsche Jugend,  est à mettre en parallèle avec les Hitler Jugend dont la raison d'être était la formation politique de futurs nouveaux Socialistes Nationaux et de soldats prêts à servir loyalement le Troisième Reich. 

Les « kinder STASI » de la DDR destiné à devenir des « cadres » du régime marxiste Socialiste Internationaliste sont à mettre en parallèle avec les « Lebensborn Kinder » nés eux au sein de la « Lebensborn eingetragener Verein » (en français « Association enregistrée fontaines de vie») elle aussi patronnée par l’état, celui là, Socialiste National et gérée par la SS, dont le but était d'augmenter le taux de naissance d'enfants allemands en permettant à des filles mères possédant de bonnes « qualités raciales », d'accoucher anonymement et de remettre leur nouveau-né à la SS qui en assurerait la charge puis l'adoption. De nombreuses femmes gardèrent leurs enfants. Système nettement plus «moral» que l’enlèvement d’enfants à leurs parents par la STASI communiste.

Après cette parenthèse signalons que le 29 mai 1994, le criminel contre l’humanité Erich Honecker meurt à l'âge de 81 ans à Santiago du Chili d'un cancer du foie et y fut incinéré. Ses funérailles, organisées par le Parti communiste du Chili, ont été effectuées le lendemain au cimetière central de Santiago.

Revenons encore un instant à la vermine rouge Alleg qui a aussi participé aux activités du pôle de renaissance communiste en France qui condamnait le tournant pris par le PCF et voulait recréer un parti marxiste-léniniste, fonctionnant sur le modèle tel que l’a mise en place le modèle bolchevique criminel en 1902 et perpétué par Staline dans la première moitié du siècle. Plus ici.

Il est mort mercredi 17 juillet 2013  à Paris, à trois jours de son 92ème anniversaire ; la haine rouge ça conserve.


(a) De 1949, jusqu’à la fin de 1961, 2 738 566 (Presque 3 Millions) Allemands de l’Est se sont enfuis du paradis socialiste en Allemagne de l’Ouest dans l’enfer capitaliste et ont été recensés. C’est le 13 août 1961 que commença la construction du Mur de Berlin condamnant le seul point du dispositif où la fuite était encore possible. On ne recense à l’inverse aucun « dissident » capitaliste qui ayant fuit le régime Ouest Allemand avec ses BMW et ses Mercedes ai tenté de franchir le « mur » pour rejoindre le « paradis » socialiste et ainsi rouler en Traban !

(b) Margot Honecker née Feist dite mémé la mort, mémé la haine socialiste, l'éminence violette ou la sorcière violette à cause de sa teinture de cheveux,  ainsi que « Miss Bildung », un jeu de mots entre les mots allemands « Bildung » (éducation, culture, formation) et « Missbildung » (malformation), les qualificatifs ne manquent pas pour caractériser cette marxiste, véritable zombie communiste, maintenu en vie par la haine, en quête de persécution, infatigable, électrisé par l’ultime courant de l’affamée jalousie égalitariste.
Cette ministre de l’enseignement « populaire » (Ministerin für Volksbildung) de 1963 à 1989 dans l’ex dictature communiste dite République « Démocratique » d’ Allemagne qui avait fuit au Chili pour éviter d’avoir à répondre de ces crimes, était  accusée d'avoir organisé des arrestations politiques massives, des exécutions sommaires, des tortures abominables sur des femmes et des enfants, des déportations dans des camps du goulag en URSS, d'avoir fait séparer de force des enfants des parents dissidents d'opposants et de ceux qui voulaient quitter le régime communiste de l'ex RDA pour les faire « adopter » par d'autres couples de bons socialistes dans des familles de membres de la Stasi. Ces enfants étaient appelés, les « Stasi-Kinder », les enfants de la Stasi.
Mais pourquoi me direz vous mémé la haine c’est-elle réfugiée au Chili alors que de magnifiques républiques démocratiques, populaires et criminelles lui ouvraient les bras tel la Corée du Nord ?

En 1990, poursuivi par la justice allemande, le couple de criminel rouge Honecker s'enfuit à Moscou. Margot Honecker était notamment accusée d'avoir organisé des arrestations politiques massives, des déportations, des exécutions sommaires, d'avoir fait séparer de force des enfants des parents dissidents pour les faire adopter par d'autres couples de bons militants collectivistes. Le 13 janvier 1993, de nouveau poursuivi par la justice pour cette fois une peccadille habituelle aux Socialistes de toutes les nations ; le détournement de fonds publics et à la suite des bouleversements politiques entraînés par la dissolution de l'URSS, elle s'envole pour Santiago du Chili avec son mari, rejoindre la famille de sa fille Sonja qui habitait avec son mari chilien Leo Yáñez et leur fils Roberto un des « Kinder STASI » Chili où Miss Bildung  séjourne encore.

La sorcière violette vit certes au Chili, mais elle est en relation avec toute une garde d'anciens camarades et de nostalgiques du régime du grand socialiste marxiste culturel Salvador Allende, un communiste antidémocratique, raciste et antisémite comme son grand copain, le décoré de la Francisque du Maréchal Pétain, François Mitterrand.

Après tout, puisqu’on en est là, profitons en pour illustrer mes affirmations sur le sale bonhomme socialiste Allende et la façon avec laquelle s'exprimait l'idole des socialistes Français et des medias racistes et antisémites :

"Les Juifs se caractérisent par des formes déterminées de délits: l'escroquerie, la duperie, la calomnie et, surtout, l'usure [...]. Ces faits font soupçonner que la race influe sur la délinquance". "[...] les gitans constituent habituellement des groupements délictueux ou la paresse, la fureur et la vanité prédominent. Parmi eux, les homicides sont plus nombreux". Quant aux "arabes", "il y a quelques tribus honnêtes et laborieuses mais les plus nombreuses sont aventurières, imprévoyantes, oisives et portées aux larcins". Selon le professeur Victor Farías tous ses propos ont été proférés dans sa jeunesse par l'icône tant admirée de la gauche marxiste à « visage humain »: le bon Docteur Salvador Allende.
En 2012 dans sa première interview depuis la chute du Mur, mémé la haine, la veuve rouge du nauséabond dictateur et dirigeant communiste de la RDA Erich Honecker justifiait l'existence des prisons de la Stasi et traitait par le mépris ses concitoyens tués sur le mur de Berlin et autres victimes du communisme.
Elle ne regrettait rien. Le regard froid et l'accent tranchant, Margot Honecker, 85 ans, n'avait pas un mot d'excuses pour les familles des dizaines de millions de victimes du communisme et de la haine marxiste. Vingt ans après la chute du Mur, l'ancienne sinistre de l'Éducation marxiste du régime criminel communiste et veuve d'Erich Honecker estimait que les jeunes gens, les femmes, les enfants tués en essayant de franchir le mur avaient fait preuve de «stupidité». «Ils n'avaient pas besoin de faire cela, d'escalader le mur, c'était stupide de payer cela de sa vie.»
Selon elle, «il n'y avait pas d'ordre de tirer, seulement l'autorisation pour les soldats postés à la frontière d'utiliser leur arme en cas de danger». C’est vrai que des femmes et des enfants désarmés présentaient un grave danger pour le communisme !

Elle  balayait aussi d'un revers de la main la question si sensible des adoptions forcées: «Il n'y en a jamais eu», prétendait l'ancienne ministre de l'Éducation, à ce titre responsable en RDA de tout ce qui concernait les enfants. D'après les témoignages, plusieurs centaines d'enfants d'opposants ont pourtant été retirés à leurs parents pour être élevés par des familles membres de la STASI favorables au régime criminel socialiste.
C’est bien connu : avec le temps les mauvais souvenirs s’effacent. Certains cultivent une sorte de nostalgie kitch et se souviennent avec regrets des merveilleux « acquis sociaux » de la RDA, de la magnifique solidarité entre les gens et des sympathiques lettres de dénonciations entre voisins, des Trabans dont la vitesse limitée à 80km/heure permettait d’apprécier les magnifiques paysages pollués par l’industrie lourde de l’Allemagne Socialiste sans oublier le goût rustique et franchement dégueulasse des cornichons du Spreewald. Alors pour tous ceux qui ont la communistalgie, la nostalgie de l’Allemagne communiste, de son mur de la honte socialiste, de ses paysages gris et pollués, de son interdiction de voyager, de ses ordres de tirer sur les fugitifs femmes et enfants compris, de ses élections truquées, de sa police politique criminelle, des appartements truffés de micros et des queues interminables devant les magasins aux étals vides, voici un petit clip. ICI. Réalisé à l’occasion du soixantième anniversaire de la RDA, qui avait déjà disparu officiellement depuis 19 ans, vous y découvrirez quelques souvenirs de ce « monde merveilleux » perdu pour les Allemands de l’Est.

Mémé la mort rouge n'a pas de problème à justifier la très socialiste Stasi, la terrible police secrète criminelle qui espionnait tous les citoyens est-allemands: «Nous avions des ennemi ( ?), nous avions donc besoin d'une police d'État», dit la vieille prostituée marxiste sans sourciller. Quant aux personnes déportées, emprisonnées, exécutées et pour certaines torturées avant, «c'était des criminels» qu'on devait enfermer » !
La sorcière violette croit toujours aux vertus du communisme. «Nous aurions fait de grandes choses si la RDA avait duré vingt ans de plus», explique-t-elle, un petit sourire de constipé aux lèvres. La fin de règne de son mari ne lui a visiblement rien appris: jetés à la rue en janvier 1990, après une courte incarcération, les Honecker n'ont pas trouvé un seul camarade pour les recueillir. C'est un pasteur protestant du Brandebourg, Uwe Holmer, pourtant considéré comme un ennemi de l'État par le pestilentiel régime communiste, qui leur ouvrira chrétiennement les portes de sa maison. 

Margot Honecker avait décidé  de faire en 2012 une offensive médiatique, en publiant le journal intime de son mari. Elle vit toujours aujourd'hui dans la capitale chilienne de 1500 euros de retraite versés par la République Fédérale d’Allemagne, une somme «honteusement insuffisante», avait-elle fait savoir. En 1999 déjà, elle avait attaqué l'Allemagne afin de récupérer ses « biens » confisqués après sa fuite. Elle avait été déboutée.
Je trouve particulièrement injuste que l'État allemand verse  4,1 milliards d’euros (5,5 milliards de dollars) dans les pensions pour les criminels anciens dirigeants communistes de la RDA, mais seulement 48 millions d'euros pour les pensions des victimes.
Fin de la quatrième Partie du « mensonge Locussol ».

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