mardi 2 septembre 2014

Le mensonge Locussol.



Un document d’Alain de Bornay


A DIFFUSER SANS MODÉRATION





Avant propos.


Un document historique, une analyse politique originale sur internet un texte avec des mots dedans, des vrais mots avec du sens, de belles images chics et chocs, un beau texte qui offre la possibilité aux « mis en cause » ou a ceux que cela intéresse de répondre (Le droit de réponse en direct live ; une exclusivité d’Alain de Bornay) ou de corriger mon travail en laissant des commentaires directement à la suite du paragraphe mis en ligne.

De plus, nul n'étant à l'abri d’une erreur, il est ici possible au lecteur qui, non content de faire valoir son opinion est susceptible de corriger un fait ou une date inexacte, si ce n’est un désaccord avec l’auteur. Comme par exemple ici., ou un « semblant » de dialogue aurait pu s’instaurer.


Auteur : Michel Alain Labet de Bornay, historien, écrivain, aristocrate, philatéliste (*1) et libertarien minarchiste (*2) qui entretient plusieurs blogs d’analyse politique notamment celui-ci : Antisémitisme non merci, le Blog du Collectif tous ensemble contre le nouvel antisémitisme.

Et celui-là : Michel Alain Labet de Bornay. Et aussi celui-ci: Libertarien.

Ce document procède d’une réflexion commencée il y a déjà une quinzaine d’année après la lecture d’un ouvrage peu connu de Théodore Kaczynski : « La société industrielle et son avenir ». Ici en PDF.

Cette réflexion m’a amené à comprendre que le droit dans le « mur » de Berlin n’est pas inéluctable si on se donne la peine de comprendre les causes du futur accident.

Cette catastrophe future dont on voit les prémices aujourd’hui  est causée en occident par une idéologie pestilentielle le marxisme culturel qui imprègne tous les partis politiques en France de l’extrême gauche à l’extrême droite de la république.

Il est vrai et vous le constaté tous les jours que le progrès technologique nous conduit à un désastre prévisible et seul l'effondrement de la civilisation moderne peut l’empêcher. ICI. Mais remplacer les « capitaines d’industrie » par des « dictateurs rouges » c’est idiot ! Garnier, un véritable anarchiste illégaliste qui a fini à la guillotine et ayant fait partie de la fameuse « Bande à Bonnot » (N.d.a. : Un mien cousin de Pont de Roide; et ce n’est pas une blague !) au début du XXème siècle disait: « tous ces messieurs n’étaient autres que des profiteurs et arrivistes qui criaient révolte partout, qu’il fallait détruire le capitaliste (Un peu comme au NPA : Nouveau Parti Antisémite) et autre, mais pourquoi. Je compris qu’ils voulaient détruire l’état social actuel, tout simplement pour s’installer, eux, à la place, remplacer la République par le syndicat, c’est-à-dire éliminer un état pour le remplacer par un autre dans lequel il y a des lois et toute la même engeance sociale actuelle, en somme ne changer que le nom pour arriver à cela. »

Frédéric Bastiat, dans « La Loi» (1850) il y a plus d’un siècle à dit « Il y a trop de grands hommes dans le monde; il y a trop de législateurs, organisateurs, instituteurs de sociétés, conducteurs de peuples, pères des nations, etc. Trop de gens se placent au-dessus de l'humanité pour la régenter, trop de gens font métier de s'occuper d'elle »

Proudhon, qui fut le premier à se qualifier d'anarchiste disait : « Le communisme, pour subsister, supprime tant de mots, tant d'idées, tant de faits, que les sujets formés par ses soins n'auront plus le besoin de parler, de penser, ni d'agir : ce seront des huîtres attachées côte à côte, sans activité ni sentiment, sur le rocher de la fraternité. Quelle philosophie intelligente et progressiste que le communisme ! »…

Mais alors me direz vous comment et surtout pourquoi « sauver le monde » ?

François-René Rideau dans « Vivre Libre, Vivre Bien » dit :
« Sauver le monde en le soumettant au joug d’un Pouvoir exercé par des anges. Voilà le rêve de la Politique, vendu à crédit à tous les gogos assez crédules pour croire aux anges, aux hommes supérieurs et autres sauveurs suprêmes. Mais toi lecteur tu ne tombes plus dans ce panneau : tu est un homme libre. Mais peut-être te demandes-tu encore comment sauver le monde ? As-tu en tête un de ces plans rocambolesques où tous les plus paumés que toi, par une soudaine illumination, résoudraient tous les problèmes de coordination pour ensemble instaurer une utopie, chassant les parasites actuels sans que d’autres ne les remplacent ? Tu es encore victime de la même arnaque ; en vain voudrais-tu user contre les Maîtres d’un Pouvoir que la populace posséderait, par lequel elle régnerait soi-disant : il est imaginaire. Les Maîtres sont bien maîtres, et non le contraire ; leur Pouvoir, réel, est celui du mensonge et de la domination. Par ce Pouvoir, tu pourrais à la rigueur devenir Calife à la place du Calife, mais tu ne pourrais pas sauver le monde ; car sauver le monde, ce serait précisément le détruire, ce Pouvoir.

Abandonne donc ces faux espoirs, mirages collectivistes de plus. Tu n’as pas le pouvoir de sauver le monde ; nul n’a ce pouvoir, pas plus que celui de le damner d’ailleurs, et fort heureusement. Tu n’en as pas le devoir non plus. Par contre tu as un devoir, que cette diversion te mène à négliger, un but atteignable, qui t’a été personnellement assigné, qui est ta tâche la plus importante, et pour accomplir laquelle tu es la personne à la fois la mieux placée et la plus capable : te sauver toi-même ! La suite de "Vivre libre" en cliquant ici. »

(*1) Le sanguinaire criminel contre l’humanité communiste Joseph (Iossif) Vissarionovitch Djougachvili plus connu sous le pseudonime de Joseph Staline (Stal en russe signifie : acier) qui a fait assassiner en bolchévie soviétique à partir de 1936 radicalement tous les éléments « socialement » suspects par centaines de milliers, les dékoulakisés appauvris par la collectivisation forcée ( Hommes, femmes et enfants sauvagement exécutés), les vagabonds (SDF et autres roms et tziganes) et autres marginaux engendrés par cette dernière, les anciens membres des « classes » dirigeantes et autres cadres et contremaîtres et leurs enfants, tous les individus entretenant ou ayant entretenu des relations avec l'étranger (corps diplomatique, anciens combattants d'Espagne, agents du Komintern, jusqu'aux espérantistes, aux philatélistes et aux astronomes sans oublier bien sur les juifs !


(*2) Le libertarianisme (ou "libertarisme") Ici est une philosophie tendant à favoriser au maximum la liberté individuelle, que celle-ci soit conçue comme un droit naturel ou comme le résultat du principe de non-agression. De ce fait, ses partisans, les libertariens, s'opposent à l'étatisme en tant que système fondé sur la coercition, au profit d'une coopération libre et volontaire entre individus. Voir ici Le parti Français.

Copyright 2014. Agence de Presse AIS (Trade Mark). Reproduction autorisée avec la mention suivante : © http://talebonjourdalfred.blogspot.fr/

 




 

4 commentaires:

  1. François Mitterrand, est ministre de la Justice du gouvernement socialiste de Guy Mollet lors des opérations de maintient de l’ordre dans les départements Français d’Algérie il était à cette époque "pour que l'Algérie reste française".

    C'est François Mitterrand qui, en 1956, a "créé les conditions légales de la prétendue torture"en fait quelques interrogatoires musclés pratiqués sur les terroristes assassins et criminels de droit commun ou communistes du FLN en Algérie.
    Il avait, comme garde des Sceaux, proposé la loi qui est devenu la loi de mars 1956 qui donnait tous les pouvoirs aux militaires en matière de justice et de police sur le sol des départements Français d’Algérie.
    Il avait notamment déclaré, peu de temps après l'insurrection de 1954: "l'Algérie, c'est la guerre".
    Garde des sceaux en 1956-1957, François Mitterrand aurait alerté Guy Mollet de quelques ytès légères mais légitimes « exactions » de l'armée, mais il n'a pas démissionné. Arriviste il avait privilégié son avenir politique.
    Miterrand ministre de la justice, s'est privé de l'essentiel de ses prérogatives en « Algérie » au profit de l'armée est resté plus de seize mois à son poste sans broncher. François Mitterrand est garde des sceaux du 1er février 1956 au 12 juin 1957. Une année charnière de ce qui ne s'appelait pas encore la guerre d'Algérie, où la justice civile cède le pas à la justice militaire, où sont justement guillotinés les premiers condamnés à mort terroristes aveugles du FLN – des exécutions qui lancent la bataille d'Alger et l'emploi systématique des interrogatoires musclés pour interroger les criminels assassins de femmes et d’enfant et des terroristes poseurs de bombes
    Début 1957, le général Massu a fait appel au général Paul Aussaresses, qui met en place son "escadron de la mort". François Mitterrand n'ignore pas qu'on interroge un peu vivement les terroristes musulmans du FLN à Alger et en prévient d'ailleurs prudemment le président du conseil, en mars 1957. Mais le garde des sceaux, ancien Cagoulard et décoré par Pétain, avocat de formation, ministre d'Etat et l'un des plus en vue du gouvernement, se fait incroyablement discret : son nom n'apparaît que de façon rarissime dans les centaines de coupures du Monde de l'époque consacrées aux "événements d'Algérie". Il attend que passe l'orage. Dans l'espoir sans doute d'être président du conseil d'un prochain gouvernement.
    Dès le 12 mars 1956, la majorité marxiste de gauche a abandonné l'essentiel : la loi sur les "pouvoirs spéciaux" votée par les communistes, signe un blanc-seing au pouvoir exécutif pour "rétablir l'ordre" en Algérie et accroît notablement les pouvoirs de la justice militaire. Le texte est cosigné par François Mitterrand, les décrets le seront aussi : le ministre de la justice vient de confier aux militaires l'exercice de la justice pénale. A suivre

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      Pourtant, le garde des sceaux connaît déjà bien la situation. Il a été ministre de l'intérieur du gouvernement de Pierre Mendès France et sait que la police algérienne n'a pas attendu l'armée pour interroger un peu violememment les terroristes muslmans. L’idiot utile François Mauriac, le 15 janvier 1955, dans L'Express, a déjà décrit des terroristes musulmans en sang conduits du commissariat au juge d'instruction. Claude Bourdet, deux jours plus tôt, dans France-Observateur, a publié un article intitulé "Votre Gestapo d'Algérie". Et François Mitterrand n'ignore ni le rapport de l'inspecteur général Wuillaume, qui, le 2 mars 1955, explique que la police "ne comprend pas qu'on lui reproche" de recourir à des "procédés qu'elle utilise de longue date", ni celui de Jean Mairey, le directeur de la Sûreté nationale, qui constate, l’imbécile, qu'en Algérie "l'exécution sommaire n'effraie pas nos collègues".
      Le garde des sceaux, en octobre 1956, tente de mettre un peu d'ordre et saisit le premier prétexte pour remplacer le procureur général d'Alger, Paul Susini, beau-frère d'un ultranationaliste et très proche de Robert Lacoste, le ministre résidant en Algérie, avec qui il ne s'entend guère. Il nomme à sa place le procureur de Versailles, Jean Reliquet, qui met trois mois avant d'obtenir un rendez-vous avec Lacoste. Le magistrat, isolé, impuissant, favorable à l'Algérie française à peine troublé par les interrogatoires musclés de terroristes musulmans, ne gênera guère les militaires.
      Le 7 janvier 1957, un nouveau pas est franchi. Sur l'ordre de Robert Lacoste, le préfet d'Alger confie les pouvoirs de police au général Jacques Massu, qui fait appel au général Aussaresses pour "nettoyer" la Casbah pourrie de terroristes criminels musulmans. Dans une lettre transmise au Monde par André Rousselet, son chef de cabinet de l'époque place Vendôme, François Mitterrand prévient nettement Guy Mollet des dérives en cours. "M. le président, écrit le ministre de la justice le 22 mars, les nouvelles qui me parviennent d'Alger sur le traitement qui est réservé aux individus appréhendés par les diverses autorités investies des pouvoirs de police me créent des inquiétudes dont il est de mon devoir de vous rendre compte. Il semble, en effet, que la plupart d'entre eux y soient privés des garanties les plus élémentaires que les traditions du droit français apportent à la défense, même dans les heures les plus graves que le pays puisse traverser." Le ministre s'inquiète "du nombre d'arrestations sans commune mesure avec celui des individus présentés par (les autorités militaires) au parquet" : les journaux, après une conférence de presse du général Massu, assurent que, sur plus de 900 personnes arrêtées jusqu'au 14 mars 1957, seules 39 ont été présentées au parquet d'Alger, "qui est laissé par l'armée dans l'ignorance complète du sort qu'elle a réservé aux autres individus appréhendés".
      La police a bien expliqué que 48 individus avaient été abattus pour avoir refusé d'obtempérer. Il y a donc "tout lieu de penser qu'un grand nombre de tueurs, chefs de cellule ou collecteurs de fonds se trouvent encore aux mains des autorités militaires". A suivre

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    2. Suite
      François Mitterrand estime que la délégation de pouvoir au général Massu "ne peut concerner que les pouvoirs de police, à l'exclusion de ceux qui sont confiés aux préfets" et "qui sont personnels". "Je ne peux donc que m'élever contre l'exercice de tels pouvoirs par l'autorité militaire", écrit le garde des sceaux, qui souhaite au moins que le parquet soit prévenu. Il note que "les résultats obtenus par l'armée, dans le domaine de la répression du terrorisme, ont été, certes, très importants". Mais "trop d'individus arrêtés pour faits de terrorisme sont encore soustraits à leurs juges naturels, trop peu de procès-verbaux, de perquisitions, d'auditions, d'interrogatoires ont été transmis au parquet, trop de fuyards ont été abattus après leur arrestation, trop de plaintes demeurent sans écho, trop de bruits circulent sur les procédés employés pour que le règlement définitif de ces affaires ne fasse pas naître dans mon esprit les préoccupations les plus graves". Il regrette que l'armée puisse "s'ériger en dehors des lois. (…) Il ne me semble donc pas que pour "faire la guerre", les autorités militaires aient besoin de s'arroger des pouvoirs qu'aucun texte ne leur a jamais conférés."
      Il n’est en aucune façon fait mention dans cette lettre d’actes de « Torture » ni même d’interrogatoires un peu vifs ! Et il se félicite même que "les résultats obtenus par l'armée, dans le domaine de la répression du terrorisme, ont été, certes, très importants".
      Néammoins devant la commission de la justice de l'Assemblée nationale, le 2 avril, le garde des sceaux reconnaît que les rapports qu'il reçoit font état de quelques "sévices ou "faits regrettables"" mais précise qu’il y en a certainement eu moins que la presse ne l'a dit". A suivre

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    3. Suite
      Le 16 avril, son propre procureur général, Jean Reliquet, tire la sonnette d'alarme. "J'ai l'honneur de vous faire parvenir ci-joint copies des déclarations faites par les nommés (x), « tous fameux européens marxistes et communistes qui sur les conseils de leurs avocats rouges comme Roland Dumas ou Vergés leur conseillait pour médiatiser leurs affaires de dire que leurs aveux avaient été extorqués sous la torture ( voir à ce sujet au dico à : Bouhired Djamila ) » détenus à la prison civile d'Alger sous l'inculpation d'atteinte à la sûreté extérieure de l'Etat, (…) qui se plaignent d'avoir été victimes de sévices graves de la part de certains militaires des troupes parachutistes. (…) Des renseignements officieux qui me sont parvenus, il résulte que les sévices infligés par certains militaires aux personnes appréhendées – sans distinction de race ni de sexe – auraient été relativement fréquents. Ils sont toujours sensiblement les mêmes : application de courant électrique, (la fameuse Gégène) supplice de l'eau et, parfois, pendaison par les mains. Ces « tortures » ont en général été infligées dans les mêmes lieux : Villa des Roses, Villa Sesini, à Alger, et, à Maison-Carrée, vraisemblablement la caserne des transmissions" .
      Le procureur général se propose d'aller sermonner les généraux et de leur transmettre désormais les plaintes pour torture, afin qu'ils prennent eux-mêmes les sanctions qui s'imposent… Les généraux prennent acte poliment, François Mitterrand n'exige rien de plus et le procureur général se félicite bientôt de cette fructueuse ambiance de travail : "Notre collaboration avec le tribunal militaire se fait dans un esprit de compréhension qui donne les meilleurs résultats", assure Jean Reliquet : 1 509 condamnations à mort de criminels et assassins terroristes musulmans ont été prononcées de janvier 1957 à mai 1958.

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