Un document
d’Alain de Bornay
A DIFFUSER SANS MODÉRATION
Avant propos.
Un document historique,
une analyse politique originale sur internet un texte avec des mots dedans, des
vrais mots avec du sens, de belles images chics et chocs, un beau texte qui offre la possibilité aux « mis en cause » ou a ceux que
cela intéresse de répondre (Le droit de réponse en direct live ; une
exclusivité d’Alain de Bornay) ou de corriger mon travail en laissant des
commentaires directement à la suite du paragraphe mis en ligne.
De plus, nul n'étant à
l'abri d’une erreur, il est ici possible au lecteur qui, non content de faire
valoir son opinion est susceptible de corriger un fait ou une date inexacte, si
ce n’est un désaccord avec l’auteur. Comme
par exemple ici., ou un « semblant » de dialogue aurait pu
s’instaurer.
Auteur : Michel Alain Labet de Bornay,
historien, écrivain, aristocrate, philatéliste (*1)
et libertarien minarchiste (*2) qui
entretient plusieurs blogs d’analyse politique notamment celui-ci : Antisémitisme non merci, le Blog
du Collectif tous ensemble contre le nouvel antisémitisme.
Ce
document procède d’une réflexion commencée il y a déjà une quinzaine d’année
après la lecture d’un ouvrage peu connu de Théodore Kaczynski : « La
société industrielle et son avenir ». Ici
en PDF.
Cette
réflexion m’a amené à comprendre que le droit dans le « mur » de
Berlin n’est pas inéluctable si on se donne la peine de comprendre les
causes du futur accident.
Cette
catastrophe future dont on voit les prémices aujourd’hui est causée en occident par une idéologie
pestilentielle le marxisme
culturel qui imprègne tous les partis politiques en France de l’extrême
gauche à l’extrême droite de la république.
Il
est vrai et vous le constaté tous les jours que le progrès technologique nous
conduit à un désastre prévisible et seul l'effondrement de la civilisation moderne
peut l’empêcher. ICI.
Mais remplacer les « capitaines d’industrie » par des « dictateurs
rouges » c’est idiot ! Garnier, un véritable anarchiste illégaliste
qui a fini à la guillotine et ayant fait partie de la fameuse « Bande à
Bonnot » (N.d.a. : Un mien cousin de Pont de Roide; et ce n’est
pas une blague !) au début du XXème siècle disait: « tous ces
messieurs n’étaient autres que des profiteurs et arrivistes qui criaient
révolte partout, qu’il fallait détruire le capitaliste (Un peu comme au NPA :
Nouveau Parti Antisémite) et autre, mais pourquoi. Je compris qu’ils
voulaient détruire l’état social actuel, tout simplement pour s’installer, eux,
à la place, remplacer la République par le syndicat, c’est-à-dire éliminer un
état pour le remplacer par un autre dans lequel il y a des lois et toute la
même engeance sociale actuelle, en somme ne changer que le nom pour arriver à
cela. »
Frédéric
Bastiat, dans « La Loi» (1850) il y a plus d’un siècle à dit « Il
y a trop de grands hommes dans le monde; il y a trop de législateurs,
organisateurs, instituteurs de sociétés, conducteurs de peuples, pères des
nations, etc. Trop de gens se placent au-dessus de l'humanité pour la régenter,
trop de gens font métier de s'occuper d'elle »
Proudhon,
qui fut le premier à se qualifier d'anarchiste disait : « Le
communisme, pour subsister, supprime tant de mots, tant d'idées, tant de faits,
que les sujets formés par ses soins n'auront plus le besoin de parler, de
penser, ni d'agir : ce seront des huîtres attachées côte à côte, sans activité
ni sentiment, sur le rocher de la fraternité. Quelle philosophie intelligente
et progressiste que le communisme ! »…
Mais
alors me direz vous comment et surtout pourquoi « sauver le
monde » ?
François-René
Rideau dans « Vivre Libre, Vivre Bien » dit :
« Sauver le monde en le soumettant au joug d’un Pouvoir exercé par
des anges. Voilà le rêve de la Politique, vendu à crédit à tous les gogos assez
crédules pour croire aux anges, aux hommes supérieurs et autres sauveurs
suprêmes. Mais toi lecteur tu ne tombes plus dans ce panneau : tu est un homme
libre. Mais peut-être te demandes-tu encore comment sauver le monde ?
As-tu en tête un de ces plans rocambolesques où tous les plus paumés que toi,
par une soudaine illumination, résoudraient tous les problèmes de coordination
pour ensemble instaurer une utopie, chassant les parasites actuels sans que
d’autres ne les remplacent ? Tu es encore victime de la même arnaque ; en vain
voudrais-tu user contre les Maîtres d’un Pouvoir que la populace posséderait,
par lequel elle régnerait soi-disant : il est imaginaire. Les Maîtres sont bien
maîtres, et non le contraire ; leur Pouvoir, réel, est celui du mensonge et de la
domination. Par ce Pouvoir, tu pourrais à la rigueur devenir Calife à la place
du Calife, mais tu ne pourrais pas sauver le monde ; car sauver le monde, ce
serait précisément le détruire, ce Pouvoir.
Abandonne donc ces faux espoirs, mirages collectivistes de plus. Tu n’as
pas le pouvoir de sauver le monde ; nul n’a ce pouvoir, pas plus que celui de
le damner d’ailleurs, et fort heureusement. Tu n’en as pas le devoir non plus.
Par contre tu as un devoir, que cette diversion te mène à négliger, un but atteignable,
qui t’a été personnellement assigné, qui est ta tâche la plus importante, et
pour accomplir laquelle tu es la personne à la fois la mieux placée et la plus
capable : te sauver toi-même ! La suite de
"Vivre libre" en cliquant ici. »
(*1) Le sanguinaire criminel contre l’humanité communiste Joseph (Iossif) Vissarionovitch Djougachvili plus connu sous le pseudonime de Joseph Staline (Stal en russe signifie : acier) qui a fait assassiner en bolchévie soviétique à partir de 1936 radicalement tous les éléments « socialement » suspects par centaines de milliers, les dékoulakisés appauvris par la collectivisation forcée ( Hommes, femmes et enfants sauvagement exécutés), les vagabonds (SDF et autres roms et tziganes) et autres marginaux engendrés par cette dernière, les anciens membres des « classes » dirigeantes et autres cadres et contremaîtres et leurs enfants, tous les individus entretenant ou ayant entretenu des relations avec l'étranger (corps diplomatique, anciens combattants d'Espagne, agents du Komintern, jusqu'aux espérantistes, aux philatélistes et aux astronomes sans oublier bien sur les juifs !
(*2) Le libertarianisme (ou "libertarisme")
Ici est une philosophie
tendant à favoriser au maximum la liberté
individuelle, que celle-ci soit conçue comme un droit
naturel ou comme le résultat du principe de non-agression. De ce fait,
ses partisans, les libertariens, s'opposent à l'étatisme
en tant que système fondé sur la coercition, au profit d'une coopération libre
et volontaire entre individus. Voir ici Le parti Français.